Après 35 ans, Galaga fait son grand retour en format 2.0. La chasse aux aliens est lancée !
Non, vous ne rêvez pas, les vieux classiques sont bien de retour. Lancé il y a quelques mois en soft-launch dans plusieurs contrées (Australie, Canada, Nouvelle-Zélande et Pays-Bas), l'illustre shoot'em up revient sous la forme d'une version retravaillée sur nos terminaux.
Galaga Wars est donc l'adaptation mobile du mythique space shooter signé Namco sorti initialement en 1981 sur bornes d'arcade. Bien entendu, grâce à la sauce remastérisée le titre se voit embelli avec des graphismes HD et des sons un peu moins 8 bits, mais le principal y est. Le gameplay n'a pas changé et demande toujours au joueur de livrer bataille contre des aliens, avec la possibilité de libérer des alliés retenus prisonniers par ces drôles d'extraterrestres.
D'ailleurs, la recette est toujours la même, puisque tout allié libéré revient dans le camp ami pour amarrer son vaisseau afin de décupler la puissance de feu disponible, de quoi dézinguer beaucoup, vraiment beaucoup d'ennemis (surtout qu'ils apparaissent à l'infini). En outre, il faut obligatoirement garder le doigt appuyé sur l'écran pour naviguer et tirer, sans quoi le menu pause apparaît automatiquement tandis que le jeu tourne au ralenti.
Qui dit titre mobile gratuit implique forcément des microtransactions ; moyennant 2,99 € il est ainsi possible d'acquérir un doubleur de pièces qui permet d'accélérer le rythme de progression, mais aussi de masquer les publicités statiques. Les pubs vidéos sont malheureusement obligatoires et longues (30 secondes) pour poursuivre une partie si vous n'avez pas le nombre de pièces requis.
Galaga Wars est disponible gratuitement sur iOS (version 8.0+) et Android (4.3 ou ultérieur) via les boutons de téléchargement ci-dessous.
 Bérenger L. (bel57)Correcteur - Rédacteur |
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| Addict des nouvelles technologies et tout particulièrement intéressé par l'univers mobile. Consommateur d'anime, de jeux vidéo et passionné par le Japon. Photographe et fansubbeur amateur à mes heures perdues. | |||
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