GC 2013 - PREVIEW - Batman : Arkham Origins - Nos nouvelles impressions
Batman a-t-il forcé sur l'eau de Cologne ?
Même si nous sommes encore loin de Noël et de ses flocons de neige, Batman: Arkham Origins a quand même traversé l’Atlantique, passant du soleil de Los Angeles à celui de la gamescom. Plus concrètement, cela veut dire que nous avons rejoué au prologue des deux Batman Arkham, excellents titres que nous devons à Rocksteady. Cette fois-ci, le développement a été confié à Warner Bros. Montréal, qui a repris les grandes lignes du gameplay, en ajoutant bien évidemment quelques nouveautés. En juin dernier, nous étions déjà conquis par ce plongeon dans une Gotham ô combien noire. Notre ressenti a-t-il changé entre temps ? Pas d’un iota…
Autre ingrédient inédit : l’opportunité d’accrocher une corde entre deux murs pour se créer un point haut, en sus de ceux déjà présents. Cela peut aussi s’avérer précieux au cours des rixes, étant donné qu’attacher un vilain à un autre les assomme tous deux. En somme, Warner Bros. Montréal a pensé à développer l’arsenal de Batman, pas foncièrement de manière révolutionnaire mais avec quelques ajouts à même de pimenter les joutes et d’approfondir le système d’expérience (plus de récompenses pour la diversité). D’ailleurs, ces dernières ont tendance à mettre en face d’un mélange de plusieurs types de menaces, obligeant à la vigilance.
Enfin, la présentation se terminait avec un aperçu du défi 100 contre 1, au sein duquel il faut logiquement occire 100 types. C’était l’occasion de découvrir des séquences de gameplay avec Deathstroke, personnage proposé en bonus de précommande. A première vue, il a l’air plus lent que Batman tandis qu’il dispose d’autres ustensiles pour venir à bout de ce qui l’entoure (l’assassin fait appel à un bâton). Chacun sa route, chacun son chemin comme dirait l’autre.