TEST - Job Simulator (PS VR) : faire le larbin en réalité virtuelle, c'est super cool !
Job Simulator : La réalité virtuelle permet, tour à tour, d'être employé de bureau, cuisinier, mécanicien ou encore caissier. Le tout avec zéro salaire... et le pire, c'est que nous avons aimé ça.
Développé par Owlchemy Labs, Job Simulator a commencé par faire une entrée fracassante sur le HTC Vive, autant pour le contenu qu'il propose que pour le prix qu'il affichait à sa sortie (baissé depuis). Il va également s'inviter sur le PlayStation VR, avec cette même envie de prouver que la réalité virtuelle peut vraiment offrir quelque chose de neuf.
Job Simulator, comme son titre l'indique, est une simulation de travail. Il s'articule autour de quatre métiers différents - cuisinier, mécanicien, employé de bureau et caissier - qu'il s'agit d'endosser le mieux possible en achevant plusieurs objectifs simples donnés au fur et à mesure. Bon, en gros, vous allez faire le larbin avec un casque sur la tête. Et bénévolement qui plus est.
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Job Simulator vous met donc dans la peau d'un humain quelque peu esseulé dans un monde où les robots ont pris le pouvoir. Armé de deux PlayStation Move, il conviendra de répondre aux ordres en adéquation avec le métier que vous avez choisi de simuler. Les tâches sont des plus réalistes : le cuisinier devra cuisiner, le mécanicien réparer des voitures, l'employé de bureau tapoter sur son ordinateur (ou manger des donuts) et le caissier servir des clients. L'expérience à 360 degrés fait que l'illusion fonctionne parfaitement, d'autant que Owlchemy Labs a opté pour des graphismes simples et cartoon plutôt que réalistes, pour un rendu propre et empli de détails et de références (petit bonus contemplatif pour les observateurs).
Un bon élève pour montrer de quoi est capable la réalité virtuelle d'un point de vue de l'immersion et des interactions.
Il y a vraiment de quoi s'amuser dans ce Job Simulator, ne serait-ce parce que fraîcheur s'accouple parfaitement à la technologie pour livrer du neuf et des sensations inédites. En revanche, cette production est, à l'heure où nous écrivons ces lignes, uniquement en anglais. Si les pictogrammes illustrant les tâches à accomplir sont explicites, ceux qui ne sont pas familiers avec la langue de Shakespeare louperont peut-être quelques informations données à l'oral. L'immersion en prendra forcément un coup aux yeux - ou plutôt aux oreilles - de cette frange de joueurs.
- Immersion instantanée
- Physique réussie
- Une foule d'interactions, et ça fonctionne
- Expérience amusante, qui sert à la VR
- Full english
- Pas un vrai jeu
- Le changement de pneus = une vraie plaie
- Très court
- Rejouabilité