TGS 2017 - PREVIEW - The Seven Deadly Sins: Knights of Britannia - Ça cogne dur sur PS4

Bandai Namco nous a conviés dans son bulding, en plein cœur de Tokyo, pour mettre la main sur The Seven Deadly Sins: Knights of Britannia, une production attendue en exclusivité sur PlayStation 4. C'est avec un brin de curiosité que nous nous sommes lancés dans un petit combat au centre d'un village. Que pouvons-nous en dire ? Qu'il y a du bon et du mauvais.

L'habit ne fait pas le moine.

Parlons des choses qui fâchent dès le départ, ce n'est pas beau. Alors, certes, nous avons eu affaire à une simple démo, le titre est toujours en développement, mais n'oublions pas que la sortie est prévue pour début 2018, les bases visuelles sont donc déjà là. L'aliasing est omniprésent, les textures sont quelconques et il y a une grosse différence à l'image entre le jeu in-game et lorsqu'une grosse attaque est déclenchée (une petite cinématique démarre), c'est assez déroutant. Chose plutôt agréable, tout est destructible, les bâtiments s’effondrent sous le poids des affrontements survoltés.

Car oui, The Seven Deadly Sins: Knights of Britannia est ultra dynamique, la prise en main est électrique, c'est complètement jouissif. Le joueur peut combiner différentes offensives légères et lourdes pour massacrer un opposant avec classe. En appuyant sur une gâchette et une touche en particulier, un assaut dantesque peut être amorcé. Cette production est tellement féroce, que le fan n'a qu'une envie ici : rentrer dans le tas. Clairement, ça explose de partout, c'est dantesque.

Comment résumer The Seven Deadly Sins: Knights of Britannia ? L'habit ne fait pas le moine. En voyant le jeu pour la première fois, nous nous sommes dit « mais qu'est-ce que c'est que ça ? », mais une fois en mains, une petite folie s'est emparée de nous. Vous l'aurez donc compris, cette adaptation vidéoludique a su convaincre notre équipe pour le moment, reste à voir si les modes inclus dans la version finale arriveront à nous satisfaire.