Titre du film: Un ticket pour l'espace
Question 2:
Ça y est c'est fait, les tests préliminaires sont finis, depuis le temps que je voulais y aller, jamais cela ne m'a sembler aussi proche de moi. Dans cette petite salle carré doté d'une simple table blanche avec neuf autres chaises nous étions une dizaine, les heures filaient mais elles semblaient interminables. Certainement deux heures de passer, aucune nouvelle, certaine personne c'était assissent d'autres discutaient vaguement, moi j'observais les mains dans les poches. L'un prit deux chaises pour se faire un lit de fortune et les autres suivirent en prenant possession de ce qui restaient, la plus part sur le sol recroqueviller. Au bout de trois heures ou plus, personne ne savaient qu'elle heure il était, la porte s'ouvrit, un homme en chemise courte avait sous son bras des dossiers. Il nous appela un par un, j'étais le septième, une fois dans le couloir j'ouvris mon dossier, des images étranges y étaient, une sorte de miasme bleuté sur fond violet y était représenter. L'homme à la chemise posa alors sa main sur mon épaule et me regarda du fond de ses hublots pour me faire un sourire d'acquiescement me faisant comprendre que mon destin n'était pas limité à une simple planète récemment découverte dans notre système solaire.
C'est une fois rentré dans un laboratoire que je commençais à peine à comprendre de quel enjeux il était question. Un homme d'une trentaine d'année avec des lunettes rondes une barbe de trois jours et un posture assez décontractes me faisait signe de m'avancer. Je lui dit bonjour, il me répondit d'un signe de tête, il ne passa pas par quatre chemins...
" Vous savez ce que vous faites ici.. Et bien oubliez tout, cas ce n'est pas pour cela que vous travaillerez. Je vais être bref, clair, et rapide car nous n'avons pas beaucoup de temps..."
Pendant son discours je fixais le fond de sa rétine, sa pupille droite était dilatée et la gauche restait de marbre, je compris par la suite qu'il portait un dispositif qui faisait croire à un œil de verre. Mais c'était en fait bien plus subtile que ça et certainement que mon grade ne me permettrait pas de savoir ce qu'il en était réellement ou tout simplement par respect pour cet homme je m'abstiendrais de question déplacer.
"Depuis plusieurs semaines nous avons repérer par nos satellite une force électromagnétique d'une puissance phénoménal, après des analyses poussés nous nous sommes aperçus que celle ci étaient bien plus dangereuse que nous le pensions. Les premières sondes envoyer nous révèlent qu'il s'agirait d'un trou noir, c'est là que vous vous dites pourquoi recruter l'élite pour un simple trou noir. C'est tout simple parce que notre système en comporte déjà un, mais je ne vous apprends rien en disant que chaque système solaire à le sien plus ou moins actif et que celui ci n'est pas naturel. Les derniers signaux envoyer nous démontres un mélange des plus explosif. Pour une raison que nous ignorons encore ce miasme serait le résultat d'une planète mourante qui aurait imploser et combiné à une comète qui passait malheureusement par là. Le résultat sont vos photos dans le dossier. Cette masse faisant plusieurs centaines de km, pour vous donnée une idée la taille, c'est proportionnel à celle de la France..."
Plus sont discours progressais plus je me disais que ce n'était vraiment pas banal ce qui m'attendais... A la fin j'acceptais le projet et on me conduisit dans mes nouveaux quartiers. Je m'allongea sur mon lit et relut les informations qui m'ont été donné par la suite. Malgré le risque d'une mort certaine, l'excitation était tel que mon cœur battait d'une puissance qu'il ne m'avais jamais fait connaitre, les lourds claquements étaient si sourds et puissant que ma cage thoracique semblait exploser il voulait sortir de moi. Je retirais mon t shirt et me dirigea vers la douche, je commença à faire coulé l'eau, la salle de bain devin vite fumante d'un épais brouillard. Les battements de mon cœur se calmèrent un court instant avant de reprendre dans un sursaut lorsque l'on vint frapper à ma porte. J'attachais une serviette de bain et m'empressai d'aller ouvrir, une femme d'un peu moins de 30 ans me regarda de haut en bas confuse et bafouillant qu'il faut que je vienne immédiatement. Je lui répondis que j'arrivais et que si elle me surprenais encore une fois à la sortie de douche je lui réserverais une place la prochaine fois. Son teint de peau pale devin subitement rouge écarlate, elle tourna les talons sans un mot et partie.
Une fois dans la salle on me fit enfilé un tenu récemment construite pour l'occasion, et on me dit c'est l'heure de partir. Je leur dit quoi pas tout de suite ce n'est pas possible...
"Le sort de l'univers pourrait bien être entre vos mains..."
Je ne comprenais plus rien mais on fit signe de passer par tel couloir et j'arrivais dans une salle remplie boutons, j'étais dans le cockpit de la navette. Une sensation étrange d'écrasement se fit ressentir, mes yeux devenaient brumeux. Après ce n'est que des images vagues et non cohérentes qui m'apparurent, les sons dans le micros étaient devenues inaudibles...
Je me réveillais abasourdie, il m'avais semblé avoir dormis une éternité. L'espace est sombre, l'univers l'est tout entier, je ne savais même plus où j'étais réellement, seul l'image du miasme dangereusement beau me restait gravé en tête. Tout à coup la cabine semblait remuer violemment, une lumière violette apparaissait devant moi devant l'immense vitre panoramique. Je sentie que je prenais de la vitesse, et tout était incontrôlable. Je commençais à tourné sur moi même, le vaisseau entier tournait, mon esprit ne supportait absolument pas de tel torture, je commençais a perdre connaissance. Tout continuais de tourné autour de moi le miasme apparaissait de temps en temps, c'est à cet instant que je compris que j'avais été absorbé puis expulsé de l'autre coter... J'étais passer au travers de cette abération planétaire. Au bout d'un moment une planète m'apparut, elle ressemblait à une planète habité des formes étranges y était dessiné la première partie que je regardais était assez petite en bas à droite une partie en forme de botte... Mais c'était ma planète! C'est la terre...
Ma déception était grande au fur et a mesure que je m'approchais la gravité me fit devenir un astre attiré, j'étais entrainé dans une longue spiral lente et rapide en même temps mon vaisseau allait s'écraser, je fonçais vers la France mon lieux de décollage et m'écrasais dans un endroit qu'il me semblais reconnaitre, l'Esplanade des Invalides et le Grand Palais, autour de mois tout semblais étrange.
J'ouvris mon cockpit de force et découvris un Paris inconnus à mes yeux, les gens étaient tous vétuent de vieux vêtement, je me serais crus dans une scène de film, à mes pieds un journal vint se plaquer. 1925 Exposition des arts décoratifs. J'étais revenue lors de l'exposition universel de Paris. Ce miasme n'était qu'une porte vers un autre monde, et pas n'importe le quel, le notre...
Qu'est ce que la destinée de mon voyage voulait dire? Etait-ce une chance donnée par une force divine pour me demander de recommencer une vie, de recommencer la vie de ce monde... Et si cette mission que l'on m'avait donnée avait été prévue comme cela depuis le début? Et si les dernières paroles que l'ont mes dit étaient prévus pour que je sauve vraiment ce monde?
"Le sort de l'univers pourrait bien être entre vos mains..."
Ces paroles résonnaient en moi, dans ma tête... Je regardais le ciel et vue le miasme beaucoup plus présent que dans mon ancien monde. Il se transformât en une sphère et explosa dans tout les sens en laissant des trainés de couleurs partout dans le ciel... La hâte de mon départ devait être pour profité de cette faille dans le continuum espace temps, et personne ne m'en avait mit au courant... Me voila condamné à vivre dans ce monde qui est le mien avec 100 années d'écart...
Fin
Voila voila j'espèrs que ma petite histoire vous à fait voyager, je me suis beaucoup amusé! C'était donc ma vision de mon voyage pour un autre monde (ou non....

) Bonnes Fêtes à tous
edit: les divers éditions sont pour une épuration de faute d'orthographe

j'essaie de corriger c'est pas gagné
