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Est ce qu'on a écris que c'était pire?

Personne, c'est une question que je pose, à vous entendre c'est du pareil au même, moi je dis juste que c'est moins dur un hôpital psychiatrique qu'une prison.

Tu écris " trop facile l'hôpital psy " , mais en quoi c'est trop facile ? Trop facile de crier à un problème psy ou trop facile d'y vivre ?

Les deux.

Trop facile de crier à un problème psy ? alors oui et non , effectivement tu peux le faire histoire de te dire que ta peine sera différente et moindre mais évidemment c'est le travail du psy d'évaluer la véracité des déclarations de la personne .

Facile de vivre dans un centre psy ? je ne sais pas dans les autres pays mais en France ce n'est pas un club de vacances . J'y suis déjà aller dans un centre en tant que visiteur ( je vous vois venir hein , vous n'auriez même pas été étonné si j'avais écris que c'était pour moi ^^) , et pour des patients niveau pas trop dangereux mais un peu quand même et ce n'est pas un endroit où j'aimerais être . Ils sont sont enfermés dans leur chambre , ne doivent pas sortir , et la journée ils ont juste droit de se balader dans le bâtiment et encore quand ils sont calmes . Pas le droit de s'habiller , rester en pyjamas et chaussons pour être reconnaissable en cas s'évasion. Cachetons à longueur de temps . Bref pour les criminels , je pense donc que ça ne doit pas être les vacances non plus . En fait c'est équivalent à un endroit carcéral , ce qui change c'est le cadre . Alors oui effectivement le cadre n'est pas le même , c'est un bâtiment banal surveillé différent d'un bâtiment carcéral niveau architecture . Et les chambres sont un peu plus grandes si tout seul .

Bref , un centre psy n'est pas un village vacances vulgairement parlant .

En effet, je comprends mieux certaines choses maintenant.

Malgré ce que tu y décrit, c'est plus souple que les prisons je trouve, la violence entre détenu (patient ici) en moins déjà comme la ' liberté ' de se promener dans le bâtiment sous condition contrairement à la prison où tu restes dans ta cellule.

La violence entre patients en moins
ça prouve bien que tu ne connais pas le milieu. Je t'invite à te renseigner pour continuer cette conversation, parce que tu es tellement tétu et focalisé sur tes aprioris que tes messages s'apparentent plus a du buzz qu'autre chose. Renseigne toi, instruit toi et nous en reparlerons ici

Mais stp, arrête de parler de ce que tu ne connais pas... et je dis ça sans méchanceté, mais comment veux-tu parler avec les gens quand tu donnes un avis sans rien connaître de la chose?

Les malades dangereux sont rares, affirme Patrick Chaltiel, médecin et spécialiste des violences en milieu psychiatrique.

"Le problème des personnes souffrant de troubles psychiques, c'est davantage leur vulnérabilité que leur violence", dit le docteur Patrick Chaltiel. De 1998 à 2006, ce psychiatre de la Seine-Saint-Denis a dirigé un observatoire des violences à Ville-Évrard, l'un des deux plus grands hôpitaux psychiatriques de France.

"A l'extérieur de l'hôpital, les malades sont dix-sept fois plus victimes d'agressions que la population générale, constate t'il. Alors que leur violence à eux n'est pas supérieure à celle de la population générale". Seuls 3 à 4% des patients, particulièrement violents, doivent être traités dans des unités de soins sécurisées.

Les vocations en chute libre.

Le problème, souligne t'il, "c'est que les cas de violence sont sur-médiatisés". La politique menée en psychiatrie, depuis quinze ans, serait elle-même génératrice de violences. En 1992, le diplôme d'infirmier de secteur psychiatrique a été supprimé. Les nouveaux infirmiers arrivent sans formation spécifique: "un déficit de savoirs qui entraîne une mauvaise gestion des situations d'agressivité"(accès au dossier détaillant les graves insuffisances de la "formation unique infirmiere" imposée à la psychiatrie par le gouvernement de 1992).

Bon après d'un site à l'autre je vais y lire le contraire ou une affirmation, mais cette personne (Patrick Chaltiel) existe, donc on peut au moins dire que ce qu'elle dit est vrai. Donc je veux bien m'instruire comme tu dis, mais comment ? Tu affirmes quelque chose, je suis ok, alors explique-moi juste ce que tu sais et par qui ou quoi ?

Alors je décris ce que j'ai vu pour y avoir passé plusieurs en visiteurs , après je ne sais pas si c'est comme ça pour les établissements , mais je pense déjà et ce qui serait logique qu'il y a plusieurs niveaux de liberté en fonction de la pathologie .

J'ai juste été dans le bâtiment des semi dangereux donc après le reste je n'ai pas vu . Je pense que dans le bâtiment des grosses pathologie, la violence doit y être omniprésente .

Le problème c'est qu'en psy , c'est assez flou , car subjectif , chaque médecin psy aura plus ou moins son diagnostic après il reste les grandes lignes des pathologies mais les soucis psy c'est tout à chacun .

tu fais d'un cas une généralité.... facepalm. (comme d'hab)

Tu te doutes bien que je ne peux ni te donner de noms, ni te décrire des patients que j'ai en tête, c'est confidentiel.

Je vois que tu es sur la défencive, j'en déduit que tu es vexé ^^. Donc je t'invite à rencontrer du personnel de ce genre d'endroits (de plusieurs, bien sur) afin de te faire une véritable idée, et de lire avant de venir dire "l'hopital psy c'est le club med a coté des prisons".

Je dirais même mieux , Zek fais toi porter malade psy , fais une investigation de terrain et après si tu peux sortir , tu nous fera un compte rendu . ^^

Oui parce que tu sais pas si tu sortiras en fait lol

Excuse-moi, mais le monsieur en question ce n'est pas n'importe qui.

Ensuite je ne suis pas sur la défensive, au contraire je fais preuve d'ouverture en demandant des précisions, après si le personnel est comme toi du genre ' secret professionnel ', je ne risque pas d'y apprendre grande chose pour changer mon point de vue.

@angel': non merci, je risque d'en ressortir encore plus fou avec tous ses médocs.