Toutes les questions posées depuis ont leur réponse dans la FAQ qu’il faut lire pour comprendre un peu mieux car là je vais résumer grossièrement !
Le hack n’est pas permanent et si tu redémarres ta console, tu te rends bien compte que rien n’est installé sauf les fichiers NSP (qui eux ne fonctionneront pas puisque le hack n’est pas actif). Le fait d’injecter un payload permet de loader et cela depuis ta SD et non depuis la console. Pour Hekate qui est un custom bootloader, c’est ainsi (et pour d’autres également).
En revanche, en fonction de ce que tu utilises, cela laisse des traces dans la télémétrie d’où le fait de ne pas utiliser sa sysNAND pour les aspects underground et de créer une emuNAND. Les deux sont déliées.
Pour Hekate, il utilise un bootloader personnalisé qui n’est pas celui de Nintendo d’où le fait de ne pas aller sur le online. Il possède trois mode de boot qui utilisent son bootloader donc la connexion est à éviter. En démarrant la console normalement, elle utilise le bootloader de Nintendo. Le hack n’est plus actif.
Rien est installé lorsqu’il s’agit d’utiliser un payload (fichier bin) qui se charge de loader depuis la SD et non depuis la console.
Comme dit plus haut, ce qui modifie la NAND, c’est l’installation de NSP, certains homebrews comme RetroArch, le mode autoRCM car il se charge de corrompre la boot et autres.
La sysNAND, c’est la NAND système de la console et l’emuNAND, c’est la NAND système sur la SD. Donc pour éviter de modifier la NAND système de la console avec l’underground, on crée et on utilise une emuNAND.