je suis pas sur justement.
il n'y a rien sur le net au niveau legislatif et compte rendu de l'appel, la seule chose que j'ai trouvé c'est justement ca
avec des dates qui correspondent :
Tribunal de grande instance de Paris Ordonnance de référé 05 septembre 2011
-> 5 septembre 2011 (et ils parlent bien des linkers puisqu'ils sont cites dans le compte rendu du tribunal)
Il s'agit du verdict avec a la fin la conclusion du tribunal.
Nintendo déboutée de sa demande d’interdiction de ventes de linkers
-> 28 septembre 2011 avec la conclusion suivante :
Dans cette affaire en référé, le revendeur a également fait valoir l’exception d’interopérabilité. Il a aussi invoqué l’absence d’originalité du code source du logiciel contenu dans les cartes de jeux. Selon lui, il s’agirait d’un simple développement technique que ferait n’importe quel programmeur doté d’une expertise en la matière, ce qui priverait de protection le logiciel. Pour prouver le contraire, Nintendo avait demandé à un chercheur de l’université de Strasbourg d’analyser les codes sources. Ce dernier soutenait que l’architecture du code permettait d’obtenir huit versions alternatives et qu’il contenait deux valeurs originales issues d’un processus qui n’est ni automatique, ni contraint. Comme Nintendo a refusé de communiquer cette note pour des motifs de confidentialité, le juge a rejeté cette argumentation pour défaut du principe du contradictoire.
donc c'est légal sauf si Nintendo va en cassassion et gagne.