dodogeek Wrote:Imités les bêtise de forza 5 c'était franchement pas la chose a faire

$ony ne fait que suivre les élans mercantiles de gro$oft, je trouve cela pitoyable en complet désaccord avec les annonces de présentation de la p$4 et blabla autour de la p$3.
150€ une voiture

Une vision étrange du jeu vidéo fait soit disant pour les joueurs
[TROLL #oupas]
Puis pour aider les joueurs à se décider, j'imagine bien $ony tout autant que gro$oft créer des profils de joueurs gérés par des robots se pavanant avec les voitures forcément les plus chère. Cela va frustrer beaucoup de joueurs de ne pas posséder cette voiture et d'en voir d'autres avec, et vus le temps qu'il faudra pour la gagner autant dire que le frustration en sera plus grande.
[/TROLL #oupas]
Du coups je me demande si le système de progression sera aussi lent et frustrant que celui de Forza5
Enfin bref si vous vous demandez pourquoi certains jeux utilisant les micro transactions donnent une impression de frustration (pay to win ect), lisez ceci
L’exaspération du désir crée deux situations limites :
- Elle crée la frustration constante. Le bon consommateur, c’est le consommateur frustré. Et il est important qu’il le reste. Les gens heureux ne consomment pas. Il faut donc attiser l’insatisfaction. Il y a toujours une nouveauté qui démode ce que vous venez d’acheter. On fera même en sorte que vous éprouviez ce que les publicistes appellent la déception post-achat (texte). Pour que vous recommenciez à acheter. Et puis, il faut que les aspirations profondes du consommateur soient constamment flattées, mais qu’il se rende aussi compte que finalement, ce n’est pas ce que promettait la publicité. Vous n’aurez pas la plénitude avec un pot de yaourt, ou une crème de beauté. Mais votre désir de plénitude frustré, sera prêt à se déplacer sur un autre objet.
- Elle crée une saturation constante. Elle tue l’envie qui n’a même plus la force de se satisfaire. Dans la saturation, le consommateur ne sait même plus ce qu’il veut et comme il est habitué et drogué à vivre dans des envies, il saisira l’envie qu’on lui proposera. Si bien qu’un centre commercial peut afficher ce slogan « je n’ai d’envie que si l’on m’en donne »! Nous finissons par être saturé de pseudo besoins satisfaits qui nous laissent dans l’insatisfaction, de sorte que la frustration de fond est encore un moteur.
c) La consommation est un appel au mimétisme collectif. (texte) La publicité sous-entend constamment que les gens normaux font « comme ceci » ou « comme cela », que, si vous voulez participer de la convivialité bienheureuse de la société de consommation, il faut faire ceci, ou faire cela. « A quoi allez-vous ressembler cet été ? ». Vous seriez un asocial de ne pas être « tendance ». (texte) La consommation est une démocratie festive, consensuelle, c’est « tout le monde se retrouve aux magasins B ». Vous devriez avoir honte de ne pas suivre le mouvement, de ne pas faire comme tout le monde. Il existe un terrorisme psychologique propre au mimétisme, qui s’exerce contre celui qui n’est pas à la mode, qui est vieux jeu, rétrograde etc.