PREVIEW - Zelda: A Link Between Worlds - Nous avons tenté de sauver la princesse
Après plusieurs heures, le prochain Zelda est-il toujours aussi bon ?
Un tournant radical qui ne déroute pas
Pour la première fois, Link n'a plus à récupérer des bombes ou des flèches au cours de son périple. Chaque utilisation d'objet fait appel à la jauge d'endurance qui se remplit automatiquement. Impossible donc de se retrouver à court plus de quelques secondes. L'endurance sert également à se transformer en peinture durant l'épisode, apportant une nouvelle dimension aux énigmes. Si les donjons sont globalement plus courts que dans les épisodes précédents, certains passages demandent plus de réflexion, tout du moins dans les débuts, tant que l'utilisation de cette capacité ne vient pas automatiquement à l'esprit.
L'un des éléments qui changent réellement en revanche, est le besoin de se rendre auprès d'une girouette pour sauvegarder son aventure. Impossible de couper le jeu en catastrophe, il faut désormais s'arrêter à un endroit précis.
Nostalgie quand tu nous tiens
Un nouveau volet des aventures du héros du temps, qui fait directement suite à l'un des meilleurs épisodes de la saga, cela ne se refuse jamais, surtout quand il relance une telle vague de nostalgie. Malgré ses nombreuses ressemblances avec A Link to the Past qui font penser que « quand même ils se sont pas trop foulés », A Link Between Worlds apporte également son lot d'inédits qui font de lui un jeu à part, mais surtout un must have pour cette fin d'année. Et en plus il est drôle !
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