TEST - Star Wars Battlefront II : que vaut l'extension Résurrection et le contenu Les Derniers Jedi ?

Electronic Arts a profité de la folie Star Wars du moment (avec la parution de Star Wars : Les Derniers Jedi dans nos salles obscures) pour proposer aux joueurs une toute nouvelle aventure dans Star Wars Battlefront II, qui n’est autre que la suite de la quête principale du jeu. Ainsi, nous nous sommes plongés dans « Résurrection » et nous sommes entrés une nouvelle fois dans la peau d’Iden Versio. De quoi prendre aux tripes ?

C'est à couper le souffle.

Une certaine excitation se fait ressentir en débutant cette odyssée puisque nous découvrons une nouvelle épopée se situant entre Star Wars : Le Réveil de la Force et le dernier long-métrage réalisé par Rian Johnson. Ici, le vil Hask a rejoint le Premier Ordre et sème la zizanie. Nous retrouvons notre héroïne, plus âgée et en colère, qui n’a qu’une envie, en découdre avec des Stormtroopers. Le récit est… convenu, mais tient tout de même en haleine avec quelques rebondissements.

Batailles spatiales, petit échange sur Vardos, ou encore infiltration d’un Croiseur, il y a de quoi s’éclater. Seul point noir au tableau, et pour ne pas changer, l’IA des ennemis n’a pas été améliorée… Résultats des courses ? Nous partons d’un point A pour rejoindre un point B, en tirant à tout-va ; et encore, par moment, il suffit de courir pour atteindre un checkpoint sans se prendre la tête avec les soldats environnants pour progresser rapidement. En d’autres termes, une bonne grosse heure suffit pour terminer le tout.

En outre, il y a du neuf du côté du multijoueur, puisque deux nouvelles cartes font leur apparition. Pour commencer, nous avons Crait qui est vraiment à tomber. C'est beau et éclatant. Le sel blanc sur le sol qui laisse place à une espèce de poudreuse rouge sous les pas des soldats et des véhicules, les textures clinquantes, les petits détails par-ci, par-là, les mirettes explosent, c'est sublime. Cet environnement est assez vaste et des couloirs en sous-sol sont présents pour surprendre l'adversaire. De l’adrénaline coule dans nos veines, dur de lâcher la manette, c'est de la pure folie. Ensuite, nous avons une confrontation au-dessus de la planète D'Qar. Des débris flottent dans tous les sens, l'astre en fond est démentiel, c'est à couper le souffle. Là aussi, les affrontements sont électriques, les neurones sont excités, c'est totalement jouissif.