E3 2013 - PREVIEW - AC IV: Black Flag - Nos premières impressions
Dans la famille Kenway, je voudrais le grand-père.
Comme chaque année, Ubisoft nous propose sa nouvelle histoire qui raconte l’affrontement à travers les siècles entre les Assassins et les Templiers. Avec Assassin’s Creed IV: Black Flag, nous nous retrouvons dans les Caraïbes en 1717, soit une quarantaine d’années avant le début d’Assassin’s Creed III. Nous y jouons le grand-père de Connor, Edward Kenway, corsaire grossier, bagarreur et pirate à ses heures.
La présentation a commencé par une séquence de gameplay solo dans laquelle Edward accepte une mission secondaire dont l'objectif est d’assassiner deux frères Templiers. Après avoir discrètement approché ses cibles, notre Assassin plante sa lame secrète dans le dos de l’un des deux ennemis, ce qui provoque la fuite du second, qui saute dans un bateau et prend le large immédiatement. Edward prend donc le contrôle du Jackdaw (son navire) et se lance à la poursuite de sa proie. À la suite d’une bataille navale acharnée, notre héros aborde le galion adverse et y assassine sa seconde cible pour toucher sa récompense. S’en est suivi une séquence de navigation en mer lors de laquelle il est possible de faire chanter notre équipage tel « une radio pirate », mais cela nous a permis de constater que les éléments peuvent se déchaîner lorsqu’une tempête s’est levée et qu’une trombe marine nous a foncé dessus en envoyant par le fond un navire espagnol.
Enfin, nous avons enfin pu avoir une manette PlayStation 4 en mains afin de nous affronter sur le multijoueur lors d’une partie personnalisée à 8 où il n’était seulement possible d’assassiner son adversaire qu’avec un pistolet. Ici, aucune surprise, notre personnage nous est imposé et nous nous retrouvons sur une carte urbaine de petite taille sur laquelle nous devrons nous étriper entre amis. C’est au fur et à mesure que la partie progresse que notre cible nous est indiquée et nous devons la retrouver grâce à un genre de boussole, qui nous indique la direction à suivre. Une fois à proximité de notre adversaire, nous pouvons le détecter, mais ne pouvons plus rester furtifs. Une fois l’ennemi abattu, une autre cible nous est affectée.
En conclusion, nous sommes un peu déçus de cet Assassin’s Creed IV: Black Flag, dont nous espérions une vraie évolution, mais nous attendrons d’avoir la version quasi-définitive de la gamescom en mains avant de nous prononcer sur sa véritable valeur.