TEST - Danganronpa 2: Goodbye Despair - Le nounours tueur est de retour
Prêts pour une longue aventure ?
Danganronpa 2: Goodbye Despair commence là où Trigger Happy Havoc s'était arrêté, à savoir : la libération des six Ultimate Students survivants et l'arrivée de seize nouveaux Ultimates sur l'île de Jabberwock, où Usami - la fée-lapine, présente à la fin de Danganronpa - accueille les élèves lors de ce qu'elle qualifie de "Voyage scolaire". Évidemment, il va sans dire que les vacances idylliques que nous promettait Usami vont rapidement tourner au cauchemar très peu de temps après leur commencement, Monokuma ayant décrété que les vacances paisibles n'étaient pas d'actualité, mais qu'un "Killing School Trip" était autrement plus passionnant.
Danganronpa 2: Goodbye Despair ressemble étrangement à l'épisode précédent.
Comme dans le premier épisode, toute la carte n'est pas disponible dès le départ, mais au fur et à mesure de votre progression dans le jeu. À chaque nouveau chapitre correspondra l'ouverture - et la découverte - d'une nouvelle île, où bien évidemment, le jeu macabre pourra continuer de battre son plein.
Encore une fois, vous êtes donc un Ultimate amnésique, embarqué sur cette île idyllique (soleil, plages, boissons fraîches, farniente, etc.) avec quinze compagnons, tous plus loufoques et différents les uns que les autres : la "Princesse Ultime" côtoie le "Yakuza Ultime", la "Gameuse Ultime" et la "Musicienne Ultime" devront faire avec le "Mécanicien Ultime" et l'"Éleveur Ultime", pour ne citer qu'eux...
Commenter 2 commentaires
Je ne savais pas qu'ils avaient inclus en plus le roman "IF..." et le mode "magical girl miracle". Pour le coup on a le droit à un jeu avec un contenu conséquent !
On a peu de visual novel édité en Europe, faut en profiter.