TEST - DmC: Devil May Cry - Il entraîne au bout de la nuit
DmC: Devil May Cry : En allumant notre console, nous avons fait la connaissance d'un certain Dante...
En apparence, le Monde est tel que nous le connaissons tous : paisible, avec ses mœurs parfois limites et ses conflits d’intérêts indispensables. Cependant, en coulisse, les Démons ont pris le pouvoir et gouvernent les humains en les asservissant d’une manière douce. Un beau jour, Dante, jeune damoiseau amnésique et casse-cou, est contacté et recruté par l’Ordre, un groupuscule mené par le charismatique Vergil, connaissant la vérité et désireux de rétablir le juste équilibre. Dès lors, les choses ne seront plus tout à fait comme avant…
Un spectacle volontairement cradingue, vulgaire, bordélique, punk et rock’n’roll.
Forcément, l’univers de DmC : Devil May Cry ne pouvait être que riche, notamment grâce aux Limbes. Schématiquement, elles représentent le miroir infernal de la ville. Concrètement, elles se matérialisent par une folie visuelle de tous les instants, lorgnant un peu du côté de Constantine. Ninja Theory s’est lâché et n’a posé aucune limite à l’imagination des développeurs. En ressort une impression de barnum labyrinthique sensoriel tendance épileptique. Une montagne russe allant à 1 000 à l'heure et n’hésitant pas à retourner la tête – celle de Dante en l’occurrence – pour susciter un torrent de sensations (vertige, dégoût, hallucination). Le fait que les environnements – au demeurant très variés - soient en perpétuelle mouvance, impressionne et participe pour beaucoup au spectacle volontairement cradingue, vulgaire, bordélique, punk et rock’n’roll. Sans doute too much, mais jouissif puisque jamais vu. Ne vous étonnez pas d’en rire. Parfois.
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