PREVIEW de Conan Chop Chop : un barbare d'amour
Conan Chop Chop : Conan Chop Chop est un projet un peu fou, totalement barré et bien loin de sa licence d'origine, mais ça ne nous a pas empêchés de l'aimer.
Conan Chop Chop a de quoi surprendre. Habituellement violent et dépravé, le plus célèbre des barbares nous revient dans un rogue-like à la direction artistique toute mignonne qui a déjà de quoi nous séduire. Nous ne nous sommes pas laissés endormir pour autant par ses papouilles visuelles et avons veillé au grain en ce qui concerne les mécaniques de jeu. La première chose que nous pouvons dire, c'est que Conan Chop Chop nous offre une double surprise en étant bien plus ambitieux par rapport à ce que laissaient croire les premières images. Le titre est loin d'être un petit jeu auquel nous ne consacrerions que 5 minutes. Au contraire, il est profond et riche, mais surtout nerveux à souhait. Les 4h qui nous ont été imparties pour nous faire une idée sur le jeu étaient loin d'être suffisantes pour étancher notre soif de Conan.
Conan Chop Chop a réussi à nous prendre par les sentiments.
Voilà déjà de quoi nous rassasier sur le plan de l'action. Ce qui reste de l'intérêt que nous portons à Conan Chop Chop se situe forcément dans son côté décalé et addictif, ainsi que dans sa simplicité de prise en main. La possibilité de jouer jusqu'à quatre en local ne fait qu'ajouter encore plus d'intérêt à une formule toute bête, mais qui a déjà tout pour plaire.
Nos premières impressions : bonnes !
Nous ne pensions pas nous enticher pour un rogue-like aussi simple, mais Conan Chop Chop a réussi à nous prendre par les sentiments. Il faut dire qu'il est difficile de ne pas craquer pour son design parfaitement chou, décalé et à des années-lumière de ce que Conan le Barbare nous avait offert jusque là. Ses petites touches d'originalité ainsi que son gameplay solide, efficace et plutôt riche ont fait le reste. Nous attendons maintenant le 25 février prochain pour être sûrs que notre petit sauvage cimmérien ait vraiment le potentiel que nous croyons.