TEST - Child of Light - Que vaut la version PSVita ?

La partie commence et il faut dire que le rendu est plus qu’appréciable sur PSVita. Child of Light est beau, plaisant et tape-à-l'œil. La magie opère donc dès les premières secondes. Seulement voilà, trop de perfection tue la perfection. Le jeu subit de légers bugs graphiques qui peuvent gêner la rétine. Selon les situations, le titre se met à ramer et des sortes de hachures apparaissent à l'image, mais pas que. La bande-son, elle, endure cette imperfection puisque les mélopées se mettent à saccader de temps à autre. Heureusement que ce problème technique n'est pas toujours présent...

Child of Light est beau, plaisant et tape-à-l'œil.

Child of Light manque parfois de fluidité. Vous l'aurez compris, des défauts, il y en a. Cependant, tous ces problèmes sont rapidement voilés par la beauté des décors, par cette magie visuelle et par cette ambiance rocambolesque tenant en haleine pendant des heures. Concernant la jouabilité, celle-ci est efficace sur la machine de poche de Sony Computer Entertainment. Et pour cause, l’écran tactile change radicalement la vie du joueur. Nul besoin de contrôler la petite luciole bleue avec le second joystick, tout se fait avec un seul doigt et, par extension, avec aisance. Il suffit alors de tapoter ou faire glisser son index à un endroit voulu. En d'autres termes, ce n'est que du bonheur.

Les menus aussi ont droit à cet atout apportant une commodité non négligeable. Ainsi, les Oculi (différents orbes de couleurs, ndlr) peuvent être fusionnés en un rien de temps, des compétences peuvent être attribuées à un personnage et l'inventaire est consultable rapidement. Bref, la prise en main est divine sur PlayStation Vita. Pour parler brièvement des mélodies, Child of Light est une merveille auditive qui délecte sans grande difficulté les esgourdes.

TEST - Child of Light : quand Ubisoft enfante un jeu touche-à-tout enivrant