TEST - The Final Station : un ultime voyage palpitant, mélancolique et inoubliable
The Final Station : Le jeu indépendant de Oleg Sergeev et Andrey Rumak se révèle plein de (bonnes) surprises.
L'emballage de The Final Station est soigné, c'est indéniable, mais Do My Best Games a aussi fait de son mieux pour proposer un gameplay intelligent tout en restant simple. Le but du jeu est donc de voyager de ville en ville à bord d'un train, mais les cheminots ont eu la brillante idée d'installer des bloqueurs demandant un code à chaque gare.
Très rapidement, The Final Station devient intense, prenant, presque addictif malgré sa mélancolie.
Le gros du gameplay de The Final Station réside tout de même dans l'exploration de villes plus ou moins abandonnées. L'occasion de trouver quelques ressources pour le crafting, des indices sur le scénario, des survivants parfois, mais surtout des infectés. Des créatures vaguement humaines, dont la résistance et la vitesse peuvent varier (The Only Traitor offre davantage de variétés pour les ennemis) qu'il faut éliminer à coups de poing ou avec des armes à feu. Mais comme le monde est en ruine, les munitions sont limitées (comme toutes les ressources en fait), il vaut mieux économiser. De ce fait, chaque rencontre fait grimper la tension, et les victoires sont une vraie satisfaction. Même si le gameplay peut sembler simpliste et peu varié (eh oui, il l'est), le level design rend chaque ville unique, les détails dans les décors y participent aussi, sans oublier la volonté du joueur d'explorer chaque recoin pour trouver des ressources, des munitions et des notes concernant l'histoire. Très rapidement, The Final Station devient intense, prenant, presque addictif malgré sa mélancolie toujours présente, mais la fin arrive trop vite.
Commenter 0 commentaire
Soyez le premier à commenter ce contenu !