TEST - Vampyr : être ou ne pas être un vampire, telle est la question
Vampyr : Les vampires envahissent Londres, et ce sont les habitants qui en font surtout les frais.
Vampyr se présente comme un jeu de rôle orienté action, et de ce côté-là, il remplit parfaitement ses fonctions. Arbre de compétences, choix dans les dialogues, craft d'objets, armes à équiper et à améliorer en fonction de sa manière de jouer, c'est du très classique, mais en combat, c'est vraiment jouissif.
Prendre une vie a des conséquences, et elles marquent autant le quartier que le joueur.
Mais le gameplay de Vampyr ne se résume pas à crafter des objets et bastonner des ennemis, qu'ils soient humains ou pas. Non, Vampyr est avant tout un jeu d'ambiance, d'exploration et surtout de dialogues. Dontnod Entertainment a beaucoup insisté sur les habitants de Londres, qui donnent toute la saveur au jeu. Chaque quartier de la ville abrite en effet une bonne dizaine de personnes (la grippe a fait des ravages...), chacun avec sa propre histoire, ses problèmes, ses relations avec les autres habitants, bref, ce sont des humains. Au Dr. Jonathan Reid d'en apprendre plus sur eux, de les aider même, voire de les soigner s'il a suffisamment de médicaments en stock. Une ressource rare, mais vitale, car un habitant apaisé et en bonne santé améliore l'état du quartier, l'empêchant de sombrer dans le chaos. Si un quartier se vide, c'est la porte ouverte aux ennemis, une horreur. Mais d'un autre côté, chaque habitant peut être séduit pour que Reid boive son sang, lui permettant de gagner de l'expérience et donc d'améliorer ses capacités.
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Peut-être que je vais le prendre sur X…