TEST - WRC 4 : enfin l'année du bon cru ?
WRC 4 : Loeb part, la série repart ?
Que dire de ce WRC 4 ? Commençons par le contenu de cette itération. Là où certains vont piocher dans le passé pour se renouveler, cette itération se contente de fouiller le présent pour accroître le nombre de véhicules disponibles. Ainsi, nous avons accès à l'intégralité des catégories WRC, WRC 2, WRC 3 et Junior WRC. La présence de ces quatre familles donne lieu à un mode carrière où nous commençons en bas de l'échelle, chez les jeunes, avant de gravir progressivement les échelons. L'emballage de ce mode est assez limité, avec peu d'interactions possibles au-delà de celles permises lors de toutes les courses, quelles qu'elles soient. Les opportunités d'évolution, au-delà du changement d'écurie et de catégorie au fil des épreuves, sont inexistantes, et ne proposent donc que peu de défi.
Il n'y a d'ailleurs pas de quoi s'extasier devant les efforts déployés pour mettre les formes.
Et au-delà de ça, rien. Nous n'avons droit qu'à des mises en scène différentes pour toujours la même finalité. Il n'y a d'ailleurs pas de quoi s'extasier devant les efforts déployés pour mettre les formes : menus pauvres, mode carrière froid, stands de réglages de véhicules très peu animés et profitant de PNJ laids comme des poux, tout le développement a visiblement été centré sur le gameplay, et c'est bien dommage.
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