TEST - Xenoblade Chronicles 3D : le RPG culte débarque sur New 3DS
Xenoblade Chronicles 3D : Les New 3DS et New 3DS XL bénéficient enfin de leur premier jeu exclusif. Il est temps de voir ce qu'elles ont dans le ventre et de rendre notre verdict sur cette nouvelle version de Xenoblade.
Plantons tout d'abord le décor pour ceux n'ayant pas goûté à la version Wii. Plusieurs millénaires auparavant, les titans Bionis et Mekonis se livraient une bataille féroce jusqu'à s'éteindre. De nos jours, les Homz, habitants de Bionis, sont en lutte contre les Mekons, résidents de Mekonis, la guerre entre ces deux peuples étant à l'avantage de ces derniers. Fort heureusement, un Homz du nom de Dunban est capable de manier l'épée Monado, seule arme pouvant détruire les Mekons, mettant fin au conflit. Un an plus tard, alors que Dunban est en convalescence dans la colonie 9, cette dernière est attaquée et Shulk, héros de cette aventure, devient le nouvel héritier de la Monado. Il décide ensuite de partir à la recherche du Facia noir, un Mekon ayant un visage et responsable de l'attaque. Ainsi commence une épopée aux multiples rebondissements.
La 3D se fait discrète et peut se révéler gênante en combat.
Deuxième ajout qui donne d'ailleurs son nom à cette version, la 3D se fait assez discrète hélas et n'améliore donc que peu l'immersion (qui n'en a pas tellement besoin de toute manière). En revanche, elle peut se révéler gênante en plein combat, surtout contre plusieurs ennemis à la fois lorsque nos personnages sont en mouvement et que les informations défilent à l'écran. Du moins, cela reste notre ressenti, la 3D n'étant pas forcément perçue de la même manière par tout un chacun.
Venons-en ensuite aux graphismes, point essentiel pour certains, mais qui dans le cas d'un jeu comme Xenoblade ne reste que secondaire en comparaison de l'intrigue et de l'univers instaurés. Pour un portage venant d'une console de salon, le jeu s'en tire vraiment bien et c'est un réel plaisir de se balader dans ces environnements haut en couleur et de toute beauté. Les quelques traces d'aliasing sont assez discrètes pour ne pas nous avoir dérangés durant notre périple, ce qui n'est pas forcément le cas des textures. En effet, si de loin la plupart restent correctes au vu de l'immensité de certains décors, de près il n'en est pas de même, avec un rendu plat et grossier. C'est bien dommage.
Commenter 4 commentaires
les éditeurs ont toujours pas compris que les consommateurs s'informent avants d’acheter maintenant....
Je suis pas fan non plus des doublages anglais mais bon j'ai pas fait l'original on dira que je serais pas choqué ne connaissant pas les voix japonaises.