Kratos, entre les mains de voleurs ?
par
MaGiXieN
Sony et David Jaffe, le directeur de God Of War, ont été accusés de ce que l'on pourrait appeler un vol, mais pas n'importe lequel. Apparemment la série mythique ne serait qu'un plagiat. Si vous voulez tout savoir,
Kratos est de retour mais ce n'est pas de bonnes nouvelles qu'ilapporte dans ses valises. Plus besoin de présenter God Of War, LE jeule plus attendu, n'est ce pas la vérité ? Aujourd'hui ce n'est pas denouvelles images, ni encore moins une vidéo toute fraiche qui faitparler du jeu, malheureusement ce n'est pas ce à quoi nous aurons ledroit. Nous relayons une information qui remet en cause les origines dela série, après bientôt trois épisodes...
On apprend qu'uneplainte a été portée contre Sony et David Jaffe par JonathanBissoon-Dath et Jennifer Barrette-Herzog. Ces deux compères déclarentque l'œuvre de Sony n'est qu'une pâle copie, ou du moins une sourced'inspiration solide, de leur travail. En effet, ces derniers affirmentavoir envoyé leur travail chez Sony en 2002. Mais trois ans plus tard(le développement de GOW ayant commencé en 2002, en même temps quel'envoi du projet donc), c'était God Of War qui battait tous lesrecords, un jeu qui, pour eux, ressemblait étrangement à leur projetintitulé The Adventures of Own: Owen's Olympic Adventure. Alors ils décident de porter plainte fin février pour réclamer leur dû.
On apprend qu'uneplainte a été portée contre Sony et David Jaffe par JonathanBissoon-Dath et Jennifer Barrette-Herzog. Ces deux compères déclarentque l'œuvre de Sony n'est qu'une pâle copie, ou du moins une sourced'inspiration solide, de leur travail. En effet, ces derniers affirmentavoir envoyé leur travail chez Sony en 2002. Mais trois ans plus tard(le développement de GOW ayant commencé en 2002, en même temps quel'envoi du projet donc), c'était God Of War qui battait tous lesrecords, un jeu qui, pour eux, ressemblait étrangement à leur projetintitulé The Adventures of Own: Owen's Olympic Adventure. Alors ils décident de porter plainte fin février pour réclamer leur dû.
Pour avoir plus de poids ils se lancent dans la création d'une listerécapitulant tous les étranges points communs entre les deux projets.En voici une partie:
Apremière vue, les similitudes sembles réelles, cependant, Sony et Jaffeaffirment ne pas être impliquées dans une telle histoire. Il sedéfendent d'ailleurs en précisant que les deux projets partent d'unthème public large (l'univers mythologique) ce qui aurait pu lesemmener sur les mêmes voix après avoir effectué des recherchessimilaires. Ils nient alors toute violation du droit d'auteur etréclament même des dédommagements financiers, les frais juridiquesn'étant pas gratuits...
- Leur histoire raconte celle d'un champion qui sauve Athènes d'une destruction certaine par les armées Spartiates envoyées par Ares. God Of War retrace le parcours d'un chamion choisi par Zeus et Athéna pour sauver Athènes de l'invasion des troupes d'Arès.
- Dans les deux travaux, la famille du champion est vouée à mourir dans une petite maison d'une seule pièce située dans un village paisible. De plus, encore une fois dans les deux cas, le champion se sent responsable de leur mort prématurée même s'il n'est pas à blâmer.
- En échange de l'engagement de Kratos, Ares lui donne les épées du chaos, deux brillantes et massives lames , des épées attachées à des chaines elles mêmes en fusion avec les poignets du héros. Ses épées ont directement été inspirée d'une scène du travail de Bissoon-Dath: "Lorsque Zeux fit un pas en avant, ses mains se transformèrent en deux épées aussi brillantes que des sabres lasers."
- Owen, le personnage des dites victimes est amené à traverser "The Bottomless Valley" sur un long pont suspendu tandis que Kratos doit traverser "the Bottomless Chasm" également sur un long pont suspendu.
Apremière vue, les similitudes sembles réelles, cependant, Sony et Jaffeaffirment ne pas être impliquées dans une telle histoire. Il sedéfendent d'ailleurs en précisant que les deux projets partent d'unthème public large (l'univers mythologique) ce qui aurait pu lesemmener sur les mêmes voix après avoir effectué des recherchessimilaires. Ils nient alors toute violation du droit d'auteur etréclament même des dédommagements financiers, les frais juridiquesn'étant pas gratuits...
Mensonge, vérité ? Nous ne savons pas vraiment quoi en penser. Celadit, comme tout le monde le sait, les Etats-Unis sont réputés pourleurs procès à tour de bras. Peut-être étais-ce un moyen pour JonathanBissoon-Dath et Jennifer Barrette-Herzog de se faire un peu d'argent.S'il est vrai que les ressemblances entre les deux tramesscénaristiques peuvent perturber, David Jaffe se rebelle et se délestede toute responsabilité en définissant certains points communs utilisésdans la liste comme inexactes, incomplets...
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