PREVIEW - Prey, parés au décollage ?
Vous êtes Morgan, en 2032, à bord de la station spatiale Talos I, en orbite autour de la Lune. Sujet clé d'une expérience mystérieuse qui est censée altérer l'humanité à jamais, et dont la situation s'est transformée en un cauchemar dont seul vous pourrez vous en tirer vivant, il ne reste que vos outils et compétences pour survivre.
L'aventure de Prey est assez complexe. En effet, tout d'abord annoncé comme le reboot d'une suite qui n'a jamais vu le jour (d'aucuns moqueurs diront heureusement), Arkane Studios a ensuite distribué au compte-gouttes les informations relatives à ce Prey, qui n'a, tel Serge Karamazov, aucun lien avec son ancêtre.
Nous sentons la patte Arkane...
N.B. : afin d'éviter de gâcher la découverte du premier plot twist qui arrive dès les 10 premières minutes de jeu, nous passerons directement à l'obtention de notre première arme : la clé anglaise.
Et c'est là que le véritable jeu commence. À la manière d'un Skyrim ou plus récemment, d'un Dark Souls, le simple fait de frapper avec notre arme de fortune nous épuise un peu à chaque coup. Rien de très impressionnant, pensez-vous ? Erreur grave ! Les premiers ennemis, les Typhoons, pointeront le bout de leur pattes très peu de temps après et autant vous prévenir de suite, ils ont dû gober des amphétamines tellement leur vigeur et leur rapidité vont rapidement vous faire comprendre que même les ennemis de base risquent de vous poser problème si vous n'êtes pas assez prudents.
En ce qui concerne le reste des armes présentées, nous restons sur du classique, mais efficace avec un pistolet semi-auto et un fusil à pompe qui remplissent leur rôle à merveille, ainsi que la fameuse arbalète Nerf, qui vous permettra d'activer discrètement des mécanismes à disctance ou de distraire les ennemis, qui sont parfois légion.
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On peut difficilement faire mieux comme conclusion
En plus le scénario à l'air bien WTF comme il faut (dans le bon sens du terme).