TEST - Darksiders II : nous avons rendez-vous avec la Mort
Darksiders II : Lentement, la Mort chevauche Despair vers des tourments qu'elle ne soupçonnait pas. Dans quel but ?
Le loot offre la possibilité de personnaliser son Death jusque dans les moindres détails. Et il n’est pas le seul élément à le faire. En effet, le Bourreau, déjà très fort à la base, évolue au fil du temps en amassant des points d’expérience et de compétence. Le joueur les distribue comme bon lui semble au sein de deux arbres, l’un affilié aux attaques, l’autre à la nécromancie. C’est une excellente façon de faire fi du dirigisme et d’opter pour la manière de combattre la plus adaptée à ses habitudes (exemple : arme secondaire lente ou rapide).
Comptez une vingtaine d'heures en allant à l'essentiel.
Techniquement parlant, le jeu édité par THQ n’est pas à l’image de son contenu. Bien au contraire. Le moteur graphique – quasiment similaire à celui de Darksiders – accuse un coup de vieux. En contrepartie, il se rattrape par un character design et des décors exotiques toujours aussi soignés et s'accompagne d'une bande son aux envolées presque lyriques. Cependant, tearing, aliasing et temps de chargement in-game sont autant de preuves d’un manque de finition. La Mort ne pouvait sans doute plus attendre…
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Remarquez aussi que la voix française de Death est celle du doubleur de Colin Farell
Comment peut on oser dire cela sans passer pour un fanboy sans discernement ?
Perso, je préfère dire que c'est la voix de Jason Staham (Boris Rehlinger)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Boris_Rehlinger