PREVIEW Marvel’s Deadpool VR : nos impressions après 30 minutes sur Meta Quest 3
Nous avons pu essayer Deadpool VR pendant une trentaine de minutes. Entre humour potache, action frénétique et direction artistique cartoon, l’adaptation VR du mercenaire grande gueule nous a déjà bien secoués.
De quoi devenir fou... ou pas !
Deadpool et la réalité virtuelle... difficile de ne pas voir le potentiel. D’un côté, un mercenaire grande gueule, imprévisible et immortel, qui adore casser le quatrième mur. De l’autre, une technologie qui nous colle littéralement dans la peau de notre personnage. Forcément, ça intrigue. La question, c’était surtout : est-ce que ça marche une fois que nous enfilons le casque ? Parce que oui, pour ceux qui n'ont pas suivi, Marvel’s Deadpool VR arrive sur Meta Quest. Nous sommes à la Gamescom, après une session d’une bonne demi-heure, nous vous livrons brièvement nos impressions. Alors ? Eh bien cette production est tout aussi bordélique que son héros... et ça fonctionne étonnamment bien !
Marvel’s Deadpool VR n’est pas subtil, il ne cherche pas à l’être : c’est un défouloir coloré et irrévérencieux.
Le jeu mise tout sur l’action. Nous attrapons les katanas, nous dégainons les flingues, et nous nous jetons dans la mêlée sans réfléchir. Les vagues d’ennemis débarquent les unes après les autres, ça bouge dans tous les sens, et la fluidité du gameplay donne un vrai sentiment de puissance. Les combats sont sanglants, parfois même complètement absurdes : décapitations, démembrements, geysers de sang, tout y passe. Mais plutôt que de verser dans un réalisme choquant, le studio a choisi une direction artistique cartoon. Et c’est une excellente idée. Le rendu coloré et stylisé rend ces excès beaucoup plus digestes, presque drôles, et colle parfaitement à l’humour noir de Deadpool.
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