PREVIEW - Sniper Elite 4 : sans maîtrise, la puissance n'est rien
Sniper Elite 4 : Lancée en 2005, la série nous a emmenés successivement à Berlin et en Afrique du Nord. Cette fois, c'est l'Italie que vous aurez l'occasion d'arpenter, juché sur votre perchoir, guettant les armées fascistes alors à leur apogée dans cette partie de l'Europe, en 1943.
1943, le régime fasciste de Benito Mussolini est dans sa période « République sociale italienne », ou République de Salò (1943-1945). Cette « république » n'est qu'un état fantoche, le pouvoir étant véritablement détenu par Adolf Hitler. Vous incarnez toujours Karl Fairburne, l'agent américain qui débarque tout juste d'une mission en Afrique du Nord, faisant ainsi le lien direct avec le précédent opus.
Ici, pas de progression scriptée ou linéaire, le joueur a une liberté d'action totale.
Comme annoncé, l'environnement est beaucoup plus vaste que dans les précédents opus : le lead designer du jeu a fièrement annoncé une taille moyenne des cartes trois fois supérieure à celles de Sniper Elite III, ce qui laisse rêveur. Plus de possibilités d'infiltration et d'assassinat, mais également de nouvelles voies d'approche : ici, pas de progression scriptée ou linéaire, le joueur a une liberté d'action totale ; s'il préfère aborder le problème frontalement, c'est possible, bien que difficile. Au contraire, s'il préfère détourner l'attention à grand renfort de destruction de véhicules ou de postes de radio, afin de passer au travers des lignes ennemies, c'est également possible. Tout ce que vous voyez est peu ou prou accessible. Il faudra juste déployer parfois un peu d'ingéniosité pour y parvenir.
Commenter 1 commentaire