TEST F1 25 : un peu de fraîcheur, mais toujours pas de révolution
Le jeu de course annuel d’EA Games et Codemasters est là avec quelques nouveautés, voici notre avis sur ce F1 25.
Aiden et Callie en lutte pour le titre
Comme tous les ans, nous avons rendez-vous peu avant la saison estivale pour découvrir un nouveau jeu de course et de simulation sous licence officielle FIA édité par Electronic Arts et développé par Codemasters. Ce F1 25, disponible uniquement sur ordinateurs et consoles de salon de dernière génération, promet des améliorations du côté de certains circuits, ainsi que du mode Mon Écurie (MyTeam), mais les studios ont également mis l’accent sur le mode scénarisé Point de Rupture 3 (Braking Point 3), qui fait son retour comme tous les deux ans. Et, comme tous les ans, nous avons passé de longues heures à rouler à bord de ces monoplaces, voici notre test complet de F1 25.
Une grille des pilotes déjà datée.
C’est prenant, le joueur enchaîne les chapitres en suivant une histoire plutôt intéressante, encore et toujours à la sauce Drive to Survive (Pilotes de leur destin) avec des scènes très inspirées de réelles courses (dont une bataille prémonitoire à Imola) et des tensions entre les pilotes de Konnersport, mais ce troisième volet propose un scénario un peu plus intimiste et touchant, une bonne surprise. Comme dans les vieux jeux de F1, nous retrouvons les interviews post-course avec la presse, nous demandant de répondre à des questions en allant dans le sens de l’écurie ou de la performance individuelle. Malheureusement, les pilotes réels sont toujours autant en retrait, n’offrant pas la moindre réplique pour commenter les courses, c’est vraiment dommage pour l’immersion. Point de Rupture 3 dispose cette fois quatre modes de difficultés ajustés, nous avons opté pour le mode Difficile (55-85), qui reste encore un peu trop simple, mieux vaut sélectionner le mode Extrême (85-110) si vous êtes habitués aux jeux de course et que voulez un vrai défi à chaque chapitre.
Dans les autres modes (Carrière, Grand Prix, etc.), Lawson et Tsunoda sont quand même dans leurs bonnes écuries, mais Doohan est toujours là, espérons un rapide patch pour mettre à jour les effectifs, d’autant que Colapinto est déjà modélisé et jouable avec les F2 (de 2024, comme toujours, Kimi Antonelli, Oliver Bearman, Isack Hadjar et Gabriel Bortoleto sont d’ailleurs eux aussi également en F2 ici).
Rédacteur - Testeur Clint008 |
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