TEST - Samsung Galaxy Note 4 : qui a dit qu'il était impossible de faire mieux que le Galaxy Note 3 ?
Samsung prend (Galaxy) Note des retours de ses utilisateurs.
Depuis un an et demi, Samsung se cherche afin de casser l'image qui colle à la peau de ses appareils aux finitions en plastique souvent jugées trop peu travaillées comparé au prix toujours plus élevé des nouveaux modèles. Après la tentative ratée du soft touch du Galaxy S5, et le bon compromis du Galaxy Alpha avec son cadre métallique et sa façade arrière en plastique, le constructeur sud-coréen tente de ménager la chèvre et le chou en imitant à nouveau du cuir, comme sur le Galaxy Note 3... mais en mieux.
Alors que la tendance voudrait que les châssis se réduisent pour une taille d'écran similaire, le Galaxy Note 4 arbore des dimensions assez similaires à celles de son prédécesseur. Avec un millimètre de moins en largeur et deux de plus en hauteur pour une épaisseur quasi-identique, le Galaxy Note 4 ressemble à première vue beaucoup à son grand frère. Sa grande taille lui vaut donc un confort supplémentaire pour certaines utilisations, mais peut rendre parfois pénibles certaines manipulations à une main, et ce malgré les ajouts logiciels comme le clavier décalé vers un côté ou l'autre au besoin. Nous ne reviendrons pas sur les avantages et les désagréments des phablettes, mais nous pouvons néanmoins noter que si le bouton ON/OFF trouve naturellement sa place sous le pouce (main droite) ou l'index (main gauche), les touches de volume sont en revanche un peu hautes et auraient mérité d'être plus accessibles.
Sur la face avant, nous retrouvons le bouton home cher à la marque, reprenant la forme ovale désormais habituelle et son cerclage en aluminium. Comme le dit l'adage, « on ne change pas une équipe qui gagne ». Enfin, la tranche supérieure abrite non seulement la prise casque, accueillie par une petite déformation plutôt esthétique de la coque, mais également le capteur infrarouge servant à la télécommande.
L'écran occupe pour sa part la plus grande partie de la façade avant, reprenant les dimensions de celui du Galaxy Note 3. Il reprend également ses qualités et ses défauts. S'il est encore plus précis qu'avant avec une définition QHD, le Super AMOLED a tendance à virer au bleu, à dénaturer les couleurs pour les rendre plus vives et la luminosité automatique manque de punch, obligeant à utiliser le correcteur au maximum pour avoir un écran appréciable tout en s'évitant la contrainte d'une modification manuelle à chaque changement d'environnement. Ceux qui ont l'habitude des appareils de la marque ne devraient néanmoins pas s'en offusquer sachant que ces problèmes sont communs à tous les smartphones du constructeur.
Commenter 4 commentaires
Et puis vivement les roms customs pour ce modèle!
Pour l'amoled perso j'adore cet écran, je suis fan des couleurs vives et surtout le rendu du noir est juste parfait. Pour le fait que ça vire au bleu j'avais jamais vraiment remarqué.