TEST - Sniper Elite 4 : bonjour l'Italie, adieu la folie
Sniper Elite 4 : Karl Fairburne s'attaque cette fois aux nazis en Italie. Une suite qui sent le réchauffé.
Quitte à reprendre les mêmes défauts que Sniper Elite III, Rebellion a au moins eu la décence de réutiliser les bons côtés du précédent volet, à savoir un gameplay et des environnements ouverts. Mais avec une sale impression de déjà-vu.
Sniper Elite 4 propose un bac à sable pour tireurs d'élite.
Bien évidemment, l'arme la plus importante reste le fusil à lunette, et les développeurs n'ont pas changé le gameplay d'un iota. Tant mieux ? Les sensations d'être un véritable sniper sont palpables, avec la gestion de la respiration, du vent, de la distance de la cible, et chaque tir procure un maximum de sensations. En mode normal, des indicateurs visuels aident au tir, permettant aux moins patients et aux néophytes de se prendre immédiatement au jeu, tandis que les puristes peuvent désactiver ces options pour encore plus de réalisme et d'adrénaline. Comme récompense, le joueur aura droit à un joli cadavre sur son tableau de chasse, mais surtout à un tir au ralenti, la killcam, qui montre avec précision où la balle a frappé grâce aux rayons X. Un bon moyen de redécouvrir l'anatomie humaine, car si le tir à la tête est tentant (et classique), il est possible de toucher les organes vitaux comme le cœur, les poumons ou encore les reins. Une animation un peu gore, mais tellement jouissive. Par contre, sur la durée, elle devient assez redondante, mais il est possible de la désactiver dans les options du jeu.
Commenter 3 commentaires
Parce que là , ton post n'apporte rien de concret si tu ne dis pas pourquoi tu n'es pas d'accord avec l'auteur de l'article