TEST - The Elder Scrolls Online : et si Tamriel m'était conté ?

Dans un monde peuplé de races en tout genre, où la nature prend le dessus selon les endroits, où les villages pullulent, où les rivières coulent et où le soleil brille de ses rayons les plus lumineux, vit un être machiavélique au dessein plus que sombre. Cette personne vile et abjecte connue sous le nom de Molag Bal, le prince Draedrique, vit sur les terres glaciales d'Havreglace. Aidé par son comparse, le nécromancien Mannimarco, il va tout faire pour réduire le monde en esclavage et attirer tous ses habitants sur Havreglace. Un scénario prévisible, se déroulant 1000 ans avant les évènements relatés dans The Elder Scrolls V: Skyrim, et qui ne casse pas trois pattes à un canard, mais qui devient tout de même assez prenant au fil de l'aventure, notamment grâce aux deux antagonistes que nous poursuivons sans relâche.

Il serait impossible d'énumérer tout ce que vous pouvez faire dans ce jeu tant les possibilités sont presque infinies.

Comme bon nombre de MMO, avant de mettre un pied dans le véritable voyage, vous devez passer par la case création de personnage. Il n'y a pas des milliards de possibilités, mais suffisamment pour ne pas croiser l'un de vos clones à tous les coins de rue. Vous devez choisir entre une des neuf races bien connues de la série : Elfe Noir, Haut Elfe, Breton, Orc, Nordique, Argonien, Kajiit, Rougeguarde et Elfe des bois. Ce choix influera sur l'alliance dont vous ferez partie (Pacte de Coeurébène, Daguefilante et le domaine Aldmeri). L'alliance détermine votre faction pour le mode PvP, mais aussi sur la zone de départ où vous commencerez votre périple. En plus de cela, vous avez également le choix entre quatre classes : Sorcier, Templier, Lamenoire et Chevalier Dragon, chacune possédant des spécificités bien particulières (magie, attaques à distance...). Après avoir créé votre héros (ou héroïne), vous allez vous réveiller dans une prison sans savoir pourquoi ni comment vous êtes arrivé là, de plus une question taraude l'esprit de votre protagoniste "mais où est passée mon âme ?". Vous l'aurez donc compris, votre objectif est de vous échapper de cette cellule et de comprendre pourquoi vous ne possédez plus d'âme.

Après votre évasion, c'est tout un monde qui va s'offrir à vous, où une foule de quêtes annexes vous attendent. La durée de vie est tout bonnement impressionnante, puisque dans Tamriel vous trouverez toujours quelque chose à faire, quelqu'un à qui parler, une mission à accomplir, des matériaux à dénicher... De plus, l'histoire principale - qui plaira ou non - force à monter en niveau encore et encore. En effet, chaque quête du scénario se débloque par palier, au niveau 5, 10, 15... Le scénario est donc bridé et vous n'aurez pas d'autres choix que d'atteindre le niveau maximum pour accomplir l'intégralité de l'histoire. Un choix discutable, frustrant pour les uns, nécessaire pour les autres. Autant vous dire qu'en pénétrant dans The Elder Scrolls Online, vous entamez un périple d'une centaine d'heures minimum, puisque même en ayant atteint le niveau maximal, il vous reste les niveaux Vétérans, le mode PvP à Cyrodiil, les donjons, les maps à déflorer entièrement, les zones des autres alliances à explorer une fois le niveau max atteint. Il serait impossible d'énumérer tout ce que vous pouvez faire dans ce jeu tant les possibilités sont presque infinies.