TEST - Transformers: Devastation - Bayonetta au pays des robots
Transformers: Devastation : Que peut donner une association entre Activision et PlatinumGames dans l'univers des Transformers ?
Côté gameplay, Transformers: Devastation ne va pas chercher midi à quatorze heures non plus. Dans la pure tradition de PlatinumGames, il s'annonce comme un beat them all ô combien nerveux et jouissif. Il a surtout le bon goût de s'inspirer de Bayonetta, licence ténor du genre de ces dernières années, développée par... PlatinumGames. Il en reprend les combats dans des arènes fermées (les fameux Versets, remplacés par de simples chapitres), les séquences exotiques (dont une à la GTA, très réussie), les missions bonus "cachées" et la faculté de figer le temps quelques secondes en réussissant une esquive au dernier moment.
Le bon goût de s'inspirer de Bayonetta.
Faire progresser son - ou ses - Autobot ne sera d'ailleurs pas de trop face aux ennemis, pas foncièrement très durs à battre, mais dont les coups font très mal. C'est particulièrement vrai lors des joutes avec les boss ou dans certaines phases où PlatinumGames fait parler l'immense variété de son bestiaire pour ajouter une dose de challenge, un tant soit peu compensé par la puissance des armes à distance (les fusils sniper, notamment). Car entre les Decepticons, les Insecticons, les Constructicons et les transformations géantes, il y a de quoi faire, redites comprises selon les situations.
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