Re: Adieu Kyoko-Sama...
Je présente mes plus sincères condoléances à la famille et aux proches de Dylan. Je peux leur dire que je comprend leur douleur, car j'ai moi-même perdu un membre de ma famille. C'est une douleur qui ne disparaît jamais, jamais. Mais avec le temps, elle devient moins vive, moins envahissante... tout simplement parce que la vie reprend ses droits et nous pousse à aller de l'avant. Alors, si au bout du compte la blessure finit par ne plus saigner, le fait est qu'elle restera toujours une plaie béante et sensible dans le coeur.
Dans ma culture, on a coutume de dire que lorsqu'une personne meurt dans ce monde, elle n'est pas entièrement morte tant qu'il restera quelqu'un pour faire vivre sa mémoire et sauver son nom de l'oubli. Ce travail de mémoire, en l'honneur du défunt, est notre tache au quotidien à nous autres survivants.
En ce qui me concerne, j'adresse chaque matin et soir une prière de paix et de libération à l'esprit du membre de ma famille que j'ai perdu, ainsi elle vit la journée avec moi, et elle renait chaque nuit quand moi je m'endors.
Cela m'a permis de surmonter la douleur, mais aussi d'accepter une partie du vide qui s'est créer dans mon coeur avec cette perte car j'ai pu remplir une partie de ce vide grâce à ce travail de mémoire, car la vrai mort n'est pas celle du corps mais celle de l'esprit.
J'espère que cela pourra être d'une aide quelconque à la famille et aux proches de Dylan, car cela a été le cas pour moi et je voulais le partager avec elles et eux.
Encore une fois, toutes mes plus sincères condoléances.
Dans ma culture, on a coutume de dire que lorsqu'une personne meurt dans ce monde, elle n'est pas entièrement morte tant qu'il restera quelqu'un pour faire vivre sa mémoire et sauver son nom de l'oubli. Ce travail de mémoire, en l'honneur du défunt, est notre tache au quotidien à nous autres survivants.
En ce qui me concerne, j'adresse chaque matin et soir une prière de paix et de libération à l'esprit du membre de ma famille que j'ai perdu, ainsi elle vit la journée avec moi, et elle renait chaque nuit quand moi je m'endors.
Cela m'a permis de surmonter la douleur, mais aussi d'accepter une partie du vide qui s'est créer dans mon coeur avec cette perte car j'ai pu remplir une partie de ce vide grâce à ce travail de mémoire, car la vrai mort n'est pas celle du corps mais celle de l'esprit.
J'espère que cela pourra être d'une aide quelconque à la famille et aux proches de Dylan, car cela a été le cas pour moi et je voulais le partager avec elles et eux.
Encore une fois, toutes mes plus sincères condoléances.
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RAZIEL78
Gamer du Dimanche
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