PREVIEW - Red Dead Redemption 2 : nous avons pu jouer au jeu de Rockstar, et c'était dingue
Red Dead Redemption 2 : Le titre tant attendu par les fans de westerns s'est laissé approcher quelques heures, et il nous tarde déjà de le retrouver.
Red Dead Redemption 2 se déroule donc quelques années avant le précédent opus, alors que John Marston était encore membre de la bande de Dutch van der Linde. Mais le joueur incarne ici Arthur Morgan, plutôt respecté de ses compères adeptes des braquages. D'ailleurs, leur dernier coup à Blackwater a un peu mal tourné, et le groupe a dû se cacher dans les montagnes.
C'est un vrai sentiment de communauté de hors-la-loi qui est palpable.
Bien plus tard dans le jeu, nous avons pu découvrir une autre mission, plus subtile cette fois. Ce fut d'abord l'occasion de visiter le camp de la bande de Dutch, un petit lieu de vie éloigné des villes où chaque membre vague à ses occupations, mais qu'il ne faut pas abandonner pour autant. Ils demanderont régulièrement à Arthur des ressources, comme de la nourriture ou de l'argent, histoire de mieux vivre. Là, encore, c'est un vrai sentiment de communauté de hors-la-loi qui est palpable, avec diverses activités à faire avec ses collègues. Et c'est aussi l'occasion de personnaliser l'apparence de Morgan, que ce soit les vêtements ou la barbe. Mais dans le camp, au moment de la démo, se trouve surtout un prisonnier d'une bande rivale. Ce dernier est un peu couard sur les bords (il tient à sa virilité) et indique donc l'emplacement du camp ennemi. Une partie de l'équipe se rend donc sur place pour éliminer leur chef tout en essayant d'être discrète. Si Arthur peut s'occuper lui-même des adversaires, il est également possible d'envoyer un coéquipier faire le sale boulot à sa place. L'arc est ici primordial, il permet d'éliminer les gardes à distance (il sert aussi à chasser des animaux, évidemment), de même que les couteux de lancer. Bon, malheureusement, la discrétion n'a pas été notre fort et un tas de gardes nous sont tombés dessus, qu'il a fallu évidemment éliminer lors d'un gunfight particulièrement prenant, dynamique et intense. Malheureusement, après cette séquence passionnante, tant du point de vue de la narration que de la mise en scène et du gameplay, nous avons dû lâcher la manette.
Nos premières impressions : vivement !
Vous l'aurez compris, cette première approche de Red Dead Redemption 2, terriblement courte au final, nous a totalement convaincus. Le jeu de Rockstar est déjà magnifique (en 4K sur PS4 Pro, pour rappel), mais surtout, il fourmille de détails qui peuvent retenir l'attention du joueur pendant des heures et des heures. Le monde, totalement ouvert, propose un tas d'activités secondaires passionnantes, mais également un scénario qui semble prenant, et qu'il nous tarde de découvrir dans son intégralité le mois prochain.
Commenter 6 commentaires
oui mais c'est bien dommage , d'une part parce que en pleine mission difficile de jouer et de lire en même temps pour suivre l'histoire, dans gta5 quasi obligé par moment de m’arrêter pour suivre les discours et c'est très contraignant ,
de 2, ils utilisent des sous titres de couleur blanc qui par moment ne ressort par correctement à l'écran car il s'incorpore dans le décors , c'est doublement rageant, donc ils pourraient au moins faire l'effort de rajouter une option pour que l'on puisse modifier les couleurs des affichages des sous titres, Fond noir / écriture jaune, certes c'est dégueulasse mais c'est efficace .