TEST - Lollipop Chainsaw : du sang et des paillettes en veux-tu en voilà
Lollipop Chainsaw : Juliet est enfin arrivée. Qui osera lui poser un lapin ?
Côté gameplay, Lollipop Chainsaw est un beat them all sans prise de tête. Les rixes reposent sur quatre mouvements : esquive/cabriole, coup de pompons pour déstabiliser, coup fort/haut et coup normal/bas. Les combinaisons ne sont pas très nombreuses et les enchaînements peu naturels. De plus, les développeurs ont tout fait pour que le joueur ressente le poids de la tronçonneuse, ce qui induit des attaques assez lentes, au demeurant efficaces. C’est plutôt déroutant de prime abord, d’autant que Juliet est très agile et se déplace rapidement (contrairement à la caméra semi-automatique, occasionnant parfois des angles illisibles).
Un véritable défouloir, gore et ô combien simpliste.
En ce sens, Lollipop Chainsaw fait moins office de défi harassant que de véritable défouloir, gore et ô combien simpliste. La vie descend à l’allure d’une tortue et les moult QTE – syndromes de cette génération de consoles – tendent à rendre le jeu encore plus accessible. Pas foncièrement désagréable une fois la manette en main, le bébé de Suda 51 est l’archétype du jeu archi facile en normal et méga ardu en difficulté supérieure. Toutefois, il est possible de la modifier au cours de l’aventure.
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j'en retiens que c'est un jeu défouloir sans grande difficulté qui est destiné à passer un bon moment et que cela remplit très bien son rôle de ce coté là.
c'est bien mieux que bien des jeux
Prévisible...