TEST - Ghost of a Tale : Prison Break chez les rongeurs
Ghost of a Tale : La French touch du JV a créé de nombreuses merveilles vidéoludiques, ce jeu indé aux allures de double A nous le prouve à nouveau.
Pour parvenir à ses fins, Tilo est aidé par une dizaine de PNJ. Si vous pensez que l’évasion va être de courte durée, détrompez-vous. Tout ce petit monde va donner du grain à moudre à notre héros, avec pas moins de 57 quêtes différentes. Si certaines ont un petit effet coursier FedEx (dont le cliché du marteau du forgeron), la plupart sont intéressantes et compliquées. Il faut d’abord se familiariser avec les lieux, qui mettent votre sens de l’orientation à rude épreuve. Une fois sortis du cachot, nous découvrons plusieurs zones autour du fort, dont une plage, une forêt ou encore des catacombes. L’exploration est au rendez-vous et promet bien des surprises !
Si vous comptez profiter pleinement de l’aventure, il vous faut une dizaine d’heures de jeu pour en venir à bout.
Le fort Deruine pourrait être comparé à l’île d’Alcatraz dans la baie de San Francisco, le passé du lieu est bien plus riche qu’il n’y paraît. Avant d’être une prison, l’endroit était une position défensive et militaire (tout comme Alcatraz). En explorant les nombreuses galeries souterraines, nous découvrons progressivement tout ce qui s’est déroulé ici. Le scénario nous emmène donc de surprise en surprise jusqu’au dénouement (tout aussi impressionnant). Le level design est particulièrement bien pensé et recèle plusieurs passages secrets. Sans compter les trésors et objets bien utiles pour Tilo. En réalisant certaines quêtes complexes, nous sommes récompensés à la hauteur de nos efforts.
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