TEST South of Midnight : dans le jardin du bien et du mal
Les développeurs de We Happy Few et Contrast nous emmènent dans le bayou, pour un voyage unique et passionnant.
La beauté du bayou
Si South of Midnight se démarque autant, visuellement parlant, c’est parce que Compulsion Games n’a pas choisi de faire un jeu aux graphismes photoréalistes, malgré l’utilisation de l’Unreal Engine 5. Non, le studio a opté pour une animation inspirée du stop motion, la fluidité est au rendez-vous, mais avec un effet volontairement saccadé, à la manière d’un Spider-Man: New Generation, mais avec des modèles 3D palpables.
South of Midnight a une esthétique unique le rendant visuellement époustouflant.
Compulsion Games a fait appel à Olivier Derivière pour composer la bande originale de South of Midnight. Le Français est un habitué des jeux vidéo (A Plague Tale, Dying Light 2, Remember Me, etc.), réputé pour ses musiques orchestrales épiques. Ici, il y a un peu de ça, mais le compositeur a surtout rendu hommage aux divers styles musicaux du Sud profond, avec des titres empruntant au Blues, au Jazz, au Gospel et au Folk, avec une petite touche très personnelle. Et beaucoup de voix. South of Midnight fait le pari de proposer des musiques chantées pendant ses phases de gameplay, notamment lors des combats contre les boss, les paroles faisant écho à l’histoire de chaque créature.
Rédacteur - Testeur Clint008 |
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