TEST The Precinct : quand GTA enfile l’uniforme
Une ambience « old-GTA » en vue, sauf que là… nous sommes les gentils. Alors, cela donne quoi ?
Un terrain de jeu sous surveillance
Comme nous l’avons déjà dit, The Precinct nous plonge dans l’univers des années 80 à Averno City, une ville qui respire le noir et le glauque. L’ambiance est plutôt réussie, entre les rues animées, les sirènes qui hurlent au loin et les néons qui clignotent dans la brume. Si l’histoire ne brille pas par son originalité, l’atmosphère rétro et la direction artistique sont assez bien pensées pour nous immerger dans cette époque. Le jeu n’essaye pas de réinventer la roue avec une narration complexe, mais les petites péripéties et les événements qui viennent ponctuer notre quotidien de policier font leur job.
C’est plus un jeu de simulation de police qu'un véritable jeu d’aventure.
Dès le départ, cette production nous offre une bonne dose de liberté dans ce que nous souhaitons faire. Et au fur et à mesure que les heures passent, le titre nous en propose de plus en plus de missions d’interpellation, courses-poursuites, scènes de crime. Les compétences à débloquer et l’évolution du personnage offrent également une certaine motivation pour prolonger le plaisir, même si ça ne reste pas très profond. L’envie de débloquer plus de véhicules, d’armes ou de compétences est bien là, mais elle est loin de suffire à maintenir l’intérêt à long terme. Bref, nous avons mis une quinzaine d’heure pour arriver au bout du tunnel, en trainant énormément des pieds.
Commenter 2 commentaires
Mais ça ne me donne pas envie alors que j'avais apprécié la démo.
Va voir le test de Gamekult. Faut pas se fier à un seul avis.