TEST - 1954: Alcatraz - La grande évasion du point & click ?
S'évader du Rocher n'a jamais été aussi simple.
L'histoire, justement, est un des points forts de 1954: Alcatraz, du moins avec Christine. Si le pitch de départ est déjà très intéressant, d'autres éléments viendront étoffer le scénario pour le rendre encore plus riche, avec des personnages hauts en couleur.
Joe ne mettra pas longtemps à trouver un plan infaillible pour se faire la malle, réalisable en quelques heures.
Car oui, une autre faiblesse du jeu provient bien ses décors. En effet, ceux-ci sont déjà peu nombreux, mais sont surtout très cloisonnés et donc forcement plutôt vides. Chaque tableau tient en effet entièrement sur l'écran, et il n'est donc pas nécessaire de bouger pour en voir la totalité. Les phases de recherche s'en retrouvent alors très limitées. Cependant, il n'y a aucune indication visuelle, comme la surbrillance, pour indiquer les objets avec lesquels il est possible d'interagir, pour éviter une trop grande facilité. Il est tout de même possible d'afficher ces éléments en maintenant la barre Espace, mais cela est fortement déconseillé tant la pratique gâche le plaisir.
Avec Joe, le scénario est tout à fait classique. Le détenu doit trouver un plan pour s'évader de la prison la plus sécurisée du monde. Hors, il ne mettra pas longtemps à trouver un moyen infaillible pour se faire la malle, réalisable en quelques heures. Une perte de crédibilité qui fera sourire le joueur très souvent. Alcatraz en perd de sa splendeur. Sur l'île aussi, les décors sont très restreints, mais étant justement dans une prison, cet élément est presque justifiable, mais simplifie encore le gameplay.
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