TEST DRAGON BALL: Sparking! ZERO, la Switch 1 peine à suivre le rythme, catastrophe !
La Team Z revient sur Switch 1… mais cette fois, l’aura scintille un peu moins fort.
Un Super Saiyan… sans transformation
Le gameplay reste celui de Sparking! ZERO, nerveux et pensé autour des anticipations, contres et enchaînements spectaculaires. Le problème, c’est que les 30 fps imposés par la machine changent complètement la manière d’aborder les combats. Nous devons nous adapter, ajuster nos réflexes, réapprendre le rythme, car les animations paraissent plus lourdes et les timings moins naturels. Rien d’insurmontable, mais tout demande un petit temps de rééducation.
La Switch 1 vieillit, et cette adaptation nous le rappelle toutes les trente secondes.
Les commandes par mouvement avec les Joy-Con ajoutent une touche de fun sur le papier, mais l’imprécision des capteurs et la lenteur des réactions rendent ces commandes anecdotiques, surtout dans un jeu où le timing est crucial. Ces gestes peuvent amuser quelques minutes, surtout les plus petits d’entre nous, mais ils ne constituent jamais un vrai avantage stratégique. Au final, la prise en main reste (assez) solide dans ses bases, fidèle au titre original, mais il est clairement entravé par les limitations techniques de la Switch 1 et les choix d’ergonomie discutables. Bref, la Switch 1 vieillit, et cette adaptation nous le rappelle toutes les trente secondes.
Cette version Switch 1 de DRAGON BALL: Sparking! ZERO donne l’impression d’un portage forcé, trop ambitieux pour une machine qui ne suit plus. Nous retrouvons la base du jeu, oui, mais amputée, allégée, vidée d’une grande partie de ses effets, de son éclat visuel et même de sa destruction environnementale qui vire au comique involontaire. Rien n’est injouable, mais rien n’est vraiment satisfaisant non plus. Les temps de chargement rallongent, les transitions sont étranges, et le rendu global manque de souffle. Cette adaptation n’aurait clairement jamais dû voir le jour sous cette forme. Elle existe, elle fonctionne, mais elle n’incarne jamais la folie et la générosité de Sparking! ZERO. Une version à réserver uniquement aux ultra-curieux... ou aux masochistes du ki.
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- Le cœur du gameplay reste là, malgré les limites et les 30 fps
- Textures moches et décors ultra allégés
- Suppression de nombreux effets visuels
- Framerate bloqué à 30 fps, qui change le rythme des combats
- Destructions catastrophiques, les bâtiments disparaissent comme par magie
- Temps de chargement trop longs
- Un portage qui n’aurait jamais dû exister dans cet état
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