TEST Hell Is Us : un plaisir de se perdre en enfer ?
Un jeu qui ne vous prend pas par la main, ça existe encore ? Il est temps de répondre à cette question.
De belles créatures… mais trop de clones
Hell Is Us débarque enfin sur nos consoles et PC, signé Rogue Factor et édité par Nacon. Ce n’est pas un simple action-RPG puisque, ici, pas de flèches fluorescentes, pas de quêtes qui se cochent toutes seules. Le jeu nous plonge dans Hadea, un pays en ruines rongé par la guerre civile et des créatures sans visage, où chaque pas est une enquête. Avec son ambiance post-apocalyptique, son gameplay basé sur l’observation et ses énigmes gratifiantes, Hell Is Us promet une expérience à la fois exigeante et envoûtante, mais qui ne fera pas de cadeau aux joueurs pressés. Nous avons fait le tour de ce titre attendu, il est temps de vous en parler.
C’est saisissant !
En outre, cette produciton profite de l’Unreal Engine 5 pour afficher un monde post-apocalyptique crédible et inquiétant. Hadea, ce pays ravagé par la guerre civile et les créatures sans visage, impressionne par ses paysages désolés, ses ruines monumentales et ses environnements marqués par le chaos. La direction artistique joue beaucoup sur les contrastes ; lumière aveuglante, zones sombres qui inspirent la méfiance, couleurs froides ponctuées de détails presque organiques, etc. Tout respire l’oppression et la tension. C’est saisissant ! Et pour cause, chaque lieu semble chargé d’histoire. Les bâtiments en ruine, les inscriptions gravées, les cadavres oubliés, tout sert de narration visuelle. Nous avons souvent eu l’impression d’apprendre autant en observant les décors qu’en lisant les notes disséminées un peu partout. Ce choix renforce l’immersion et pousse à explorer, car un simple détail de l’environnement peut donner un indice précieux pour avancer.
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