TEST NINJA GAIDEN: Ragebound, le pixel saigne comme jamais
La puissance des jeux 2D… Vous allez forcément craquer !
Vitesse, violence et Fusion Ninja
Le cœur de NINJA GAIDEN: Ragebound, c’est son gameplay millimétré. Fini la soluce qui traîne dans un onglet, ici tout passe par l’instinct et les réflexes. Nous incarnons Kenji Mozu, jeune ninja formé par Ryu lui-même, qui doit sauver son village d’une invasion démoniaque en pactisant avec le clan de l’Araignée noire. Oui, il y a une odeur de trahison, mais aussi de survie.
Le rythme ne faiblit jamais.
Les niveaux sont variés, le bestiaire impitoyable, les combos nerveux. Mention spéciale aux affrontements de boss, véritables chorégraphies meurtrières à apprendre par cœur pour survivre. Chaque erreur se paie cash, mais chaque réussite donne un frisson que nous retrouvons que dans les grands jeux d’action.
Et l’histoire dans tout cela ? Ce n’est pas juste un prétexte, le scénario de NINJA GAIDEN: Ragebound s’intègre parfaitement à la formule. La disparition temporaire de Ryu laisse un vide que Kenji doit combler, quitte à briser des tabous millénaires. En s’alliant à l’ennemi d’hier, il rebat les cartes du conflit et pose une vraie tension narrative. Le lien avec Kumori, entre rivalité, confiance et devoir, ajoute une belle profondeur. Les dialogues, bien que succincts, suffisent à poser un univers sombre, où l’honneur doit parfois plier face à la menace. Et le rythme ne faiblit jamais. En gros, ça avance, ça tranche, ça brûle, même si par moment, ça manque de profondeur.
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