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TEST NINJA GAIDEN: Ragebound, le pixel saigne comme jamais

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La puissance des jeux 2D… Vous allez forcément craquer !

Court mais intense

NINJA GAIDEN: Ragebound ne cherche pas à durer pour durer. Ne tournons pas autour du pot, comptez environ 6 heures pour terminer le jeu une première fois. L’envie d’y retourner est présente, nous avons donc ensuite lancer cette production en mode Difficile. Chaque session est dense, chaque niveau une leçon de mise en scène et de gameplay. Et grâce à son système de scoring et de défis, le jeu donne envie de recommencer encore et encore, pour parfaire son style. Une vraie philosophie ninja. En d’autres termes, nous avons trouvé tous les objets et fini tous les niveaux bonus en 15 heures environ.

En conclusion, cette production réussit l’exploit de moderniser une légende tout en respectant ses racines. Plus qu’un hommage, c’est une vraie renaissance. Le pixel art, d’une brutalité magnifique, sublime chaque affrontement, et le gameplay précis remet au goût du jour cette exigence qui fait la force de la licence. Avec son duo de protagonistes, ses mécaniques bien pensées et son univers revisité avec respect et audace, NINJA GAIDEN: Ragebound taille dans le vif et nous embarque dans une aventure aussi palpitante que punitive. Une ode sanglante aux amoureux de défis et de style.

Vous pouvez acheter NINJA GAIDEN: Ragebound à 39,99 € sur : 

Les plus
  • La direction artistique, pixel brutale et sublime
  • Le gameplay, technique et jouissif
  • Le duo Kenji/Kumori, Fusion Ninja !
  • La musique, parfaite pour découper en rythme
  • L’hommage réussi à l’esprit Ninja Gaiden
Les moins
  • Quelques pics de difficulté un peu abrupts
  • Une durée de vie un peu courte (même si l’envie d’y retourner est là)
Notation
Graphisme
18
20
Bande son
17
20
Jouabilité
17
20
Durée de vie
15
20
Scénario
14
20
Verdict
18
20
Martial DUCHEMIN
Rédacteur en chef - Spécialiste Japon
Résident au Japon qui a trois passions dans la vie : les jeux vidéo, les figurines, et la bouffe. Adore les balades à Akiba, le retrogaming, et les salles d'arcade. Ma vie est vouée à Dragon Ball.
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