TEST - Sherlock Holmes: The Devil's Daughter - Le diable est dans les détails
Sherlock Holmes: The Devil's Daughter : Deux ans après Crimes & Punishments, Sherlock enfile à nouveau sa veste pour de nouvelles affaires qui impliquent notamment sa fille adoptive Kate.
La marque des Sherlock Holmes, c'est probablement aussi leur système de jeu, et The Devil's Daughter ne manque pas le coche. Il propose encore une fois un habile mélange entre mini-jeux, enquêtes et énigmes, qui a le mérite d'être original et de n'être présent dans aucune autre production actuelle. La plupart du temps, nous déplaçons notre détective dans des environnements ouverts pour interroger et analyser des suspects, ou découvrir et inspecter des preuves. Pour le reste, nous avons droit à des séquences récurrentes, comme des passages d'équilibre avec les joysticks, des scènes où il faut remettre des actions dans l'ordre, etc.
Le système de jeu est ainsi trop permissif, mais sa diversité est toujours aussi intéressante.
Au fil de nos actions, l'enquête avance logiquement, et il est possible de manquer des indices nécessaires à la résolution du mystère. Deux modes de difficulté sont proposés : l'un ne nous laisse pas réparer nos erreurs, l'autre nous permet de recommencer une analyse ou une action pour trouver une preuve utile à l'affaire. Mais autant se le dire, quel que soit le mode de difficulté, difficile de manquer le moindre élément utile à l'affaire : entre le menu qui nous dit quand un lieu a fini d'être exploré et les pointeurs un peu trop dirigistes, tout est fait pour nous aider. À contrario, l'absence d'indicateur quant au lieu où nous devons nous rendre (le plus souvent lors d'un retour à la maison des Holmes pour analyser une preuve ou nous changer) fait parfois inutilement perdre de longues et énervantes minutes.
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