DmC: Devil May Cry : En allumant notre console, nous avons fait la connaissance d'un certain Dante...
En conclusion, DmC: Devil May Cry remporte son double pari : celui d'être un reboot réussi et celui de redonner vie à un héros oublié ces dernières années. Ninja Theory et Capcom auraient pu tomber dans la facilité en utilisant le Dante d'antan, mais ils ont eu l'audace de le revisiter totalement. Pour le montrer sous un visage inédit et l'explorer davantage.
Pas foncièrement original, le gameplay de DmC: Devil May Cry est suffisamment riche et efficace pour remporter les suffrages. Il est soutenu par un rythme effréné, laissant peu de place au temps mort, et une histoire contenant quelques niveaux de lecture, ce qui n'est pas courant dans les beat them all. Il est juste dommage que le challenge et la technique ne soient pas vraiment au diapason.
Au final, Dante est un petit malin : il a fait exprès de se faire détester pour nous donner un bon coup de poignard dans le dos. Comme ça, personne ne l'oubliera et il sera à même d'être aimé pour la deuxième fois. S'il décide de repartir dans les Limbes, il aura au moins eu le mérite de marquer nos ludothèques de son empreinte. Normal, il avait oublié d'essuyer ses bottes sur le paillasson... Sale gosse... Beau gosse...
- La personnalité du nouveau Dante
- Le gameplay efficace
- L'univers hallucinant et halluciné
- Le scénario
- Manque de challenge
- Graphismes loin d'être flamboyants
- Durée de vie un peu courte
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