Mindjack : Marre de vous prendre la tête ? Visitez donc celles des autres !
Du côté des yeux, rien de très flatteur non plus. Mindjack fait la part belle au bleu et au gris, au métal, aux écrans géants tactiles dans tous les sens, avec un arrière-goût de Minority Report. Loin de donner une quelconque identité à l'univers, le rendu est très froid, trop froid, à tel point que nous en venons à penser que le costume rouge (oui, rouge !) de Rebecca est carrément déplacé dans ce paysage bichromatique. Les textures quant à elles sont simplistes, et nul renversant effet de lumière dû à une explosion , ni même jeu d'ombre ne viendront égayer notre rétine. Le jeu s'offre en revanche de magnifiques chutes de framerates plutôt complètement incompréhensibles étant donné le niveau de détails affichés. Rajoutons à cela une touche, une grosse touche, d'aliasing : tel est le lot du Wanderer.
Rien de très remarquable non plus côté bande sonore, les musiques étant relativement discrètes et ne marquant pas du tout l'esprit. Quant aux effets sonores divers, là encore, pas de gros coup d'éclat technique, mais du très classique, avec le son des diverses armes à feu, explosions de grenades et autres destructions des rares éléments de décors pouvant l'être. Mention spéciale à l'effet sonore du Wanderer, sympa au début, mais très crispant à la longue.
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ce jeu se joue surtout en multi (pas noté se jeu sur le solo) et il est loin d'être nul, je dirais même qu'il bien meilleur que certain jeu plus connu
c'est possible, y a une touche pour lui mettre un coups de pieds aux fesses !