Test Xbox 360
Vanquish head 10

TEST - Vanquish : un shooter à réaction surdéveloppée

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Vanquish : Quand des japonais ont la rage de se faire devancer par les occidentaux sur une catégorie de jeu, ils rappliquent avec leur version dans laquelle les Américains, avant d'être des héros, se font quand même un peu casser la figure. Tiens, ça leur apprendra !

C'est connu, il n'y a rien de pire qu'une bataille sans vainqueur surtout si cette guerre dure depuis trop longtemps. Dans un futur proche, la Guerre Froide perdure entre les ennemis de toujours que sont les États-Unis d'Amérique et la Fédération Russe.

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Comme l'expansion de la race humaine est à un stade critique sur Terre, principalement à cause du niveau extrêmement faible des ressources énergétiques, les Américains ont tenté de subvenir à leurs propres besoins en envoyant en orbite une gigantesque station spatiale nommée Cylindre d'O'Neill. Seulement, l'animosité des ex-Soviétiques envers le drapeau étoilé aidant, la Fédération Russe nourrit alors une rancœur sans précédent envers leurs vieux adversaires et décida d'en finir une bonne fois pour toutes avec eux. Les Russes prirent d'assaut et sans sommation le Cylindre d'O'Neill et le transformèrent pour en faire une arme de destruction massive dotée d'une puissance sans égal dans l'Histoire de l'Homme. En effet, le Cylindre d'O'Neill est à la base un récupérateur géant d'énergie solaire grâce aux centaines de milliers de panneaux solaires disposés à l'extérieur de la station. Les Russes, ayant converti le Cylindre pour faire en sorte d'expulser toute l'énergie emmagasinée sous forme de rayon de chaleur, ne s'embarrassèrent pas de sentiments et pulvérisèrent la ville de San Francisco.

Les revendications ne se firent point attendre : la Fédération souhaitait ni plus ni moins que la reddition des États-Unis et menaçait d'une nouvelle attaque sur New York en cas de refus. Devant la gravité de la situation et de la brutalité de l'attaque, les Nord-Américains n'accédèrent pas aux exigences terroristes des ex-Soviétiques et envoyèrent leur toute nouvelle armée composée des plus valeureux vétérans des forces militaires américaines : la Compagnie Bravo. Et pour couronner le tout, la Présidente des États-Unis ordonna à la section des Recherches en Défense Avancée d'envoyer sur le front leur dernier prototype d'ARS (Armure à Réaction Surdéveloppée) ainsi que leur meilleur utilisateur.

La mission est simple : endiguer la menace d'une attaque sur New York en retrouvant la seule personne vivante sur la station capable de stopper le processus et éradiquer les forces de la Fédération Russe.

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