Le staff vous donne son avis sur les meilleurs jeux de l'année et leurs coups de cœur personnels de 2011 !
Les coups de cœur de l'année du staff ! |
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Mes coups de cœur sont : |
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Cette année a été un excellent cru dans le domaine des jeux vidéo. Plusieurs suites de franchises à succès ont débarqué en 2011, comme Gears of War 3, FIFA 12, Portal 2 et The Elder Scrolls V: Skyrim qui, comme vous l'aurez remarqué, font tous partie de mes coups de cœur de l'année. En premier lieu, Gears of War 3 est vraiment une excellente suite pour la série. Encore plus beau et plus bourrin que les opus précédents, le troisième épisode de la franchise phare d'Epic Games est sans doute le meilleur de la série. FIFA 12, quant à lui, n'a pas révolutionné la série, bien qu'Electronic Arts Sports se force à le dire. Mais ce n’est pas pour cela que le titre est un mauvais jeu, au contraire ! Avec l'amélioration des contacts entre les joueurs qui influent ainsi sur le gameplay, FIFA 12 gagne en réalisme. De plus, le système de défense, bien moins "cheaté" qu'auparavant, et l'ensemble des petites améliorations qu'ont effectué EA, permettent à FIFA 12 d'être la référence des jeux de foot et de devancer de plus en plus son célèbre rival, Pro Evolution Soccer. Ensuite, Rayman Origins m'a vraiment impressionné à tous les niveaux. Les graphismes, la jouabilité et la bande-son sont juste somptueux. Les développeurs ont véritablement recherché la perfection et n'ont pas craint la difficulté. Les animations sont également géniales ! Cela faisait un bon moment que je n'en avais pas vu d'une telle qualité. Pour la jouabilité, Rayman Origins possède une prise en main vraiment satisfaisante et nous permet de jouer sans avoir de frustration due à un manque de facilité au niveau des commandes du jeu. Enfin, la bande-son est majestueuse et se marie parfaitement avec les différents thèmes. Je ne peux point vous le cacher, mais il est vrai que j'attendais impatiemment Portal 2, car j'avais véritablement adoré le premier opus, bien qu'il était trop court. Eh bien, je ne fus point déçu, car Portal 2 a vraiment effacé tous les défauts du premier opus de la franchise. Le jeu est bien plus dur et il vous faudra remuer vos méninges pour en venir à bout. De plus, la durée de vie et la scénarisation encore plus poussée permettent au jeu d'être excellent. Pour terminer, mon dernier coup de cœur est le cinquième épisode de la franchise culte The Elder Scrolls. Malgré quelques craintes, Skyrim est bel et bien le digne héritier d'Oblivion. Bien qu'il possède des graphismes en deçà des moutures PC, Skyrim est vraiment joli sur Xbox 360, grâce à une direction artistique impressionnante de Bethesda. La durée de vie ne le différencie pas des autres opus de la franchise, il vous faudra donc une centaine d'heures pour le terminer de fond en comble. Cependant, le titre est complété de quêtes annexes générées aléatoirement, qui permettent une durée de vie presque infinie... Enfin, ce qui est le plus impressionnant dans cet opus, c'est l'ambiance nordique qui est parfaitement retranscrite. Les environnements enneigés et montagneux sont somptueux. Nous nous y croirions ! |
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Comme chaque année, FIFA s'améliore et frôle la perfection. Dans ce nouveau titre, l'IA est améliorée, les bugs ont été réduits, le gameplay est épuré et agréable. De plus, les graphismes sont fins et somptueux et les nouveaux systèmes de défense apportent une nouvelle touche de réalisme. En bref, FIFA 12 dépasse de loin la concurrence. Entraînement Cérébral et Physique du Dr. Kawashima est le premier jeu du Dr. Kawhasima sorti sur Xbox 360. Connaissant déjà le jeu sorti sur DS, j'ai bien apprécié l'idée de porter le jeu sur Xbox 360 et d'y ajouter des nouveautés. Malgré sa difficulté un peu trop poussée, le jeu de réflexion reste fun et il est préférable de jouer à plusieurs pour plus d'amusement. Après une apparition avec Les Lapins Crétins dans un jeu assez décevant il y a de cela 4 ans, Rayman revient dans un tout nouveau titre, Rayman Origins. Dans cet excellent jeu de plateformes 2D, nous devons évoluer avec un personnage au choix dans plusieurs "mondes" constitués d'une myriade de niveaux, comme dans New Super Mario Bros. Nous noterons qu'il est possible d'y jouer en coopération jusqu'à 4 joueurs. Dernier titre en date de la série Need for Speed, NFS: The Run a su se démarquer par son originalité. Comme son nom l'indique, tout le jeu se résume à une course de plus de 4500 km reliant la côte Ouest à la côte Est des États-Unis, qui débute donc à San Francisco et a pour destination New York. Parmi les nouveautés qu'apporte ce titre, nous noterons qu'il nous est possible de changer de voiture en pleine course, il faut pour ça s'arrêter dans une station-service, cela nous permet de nous adapter à l'environnement : voies rapides ou routes sinueuses. Le jeu tourne sous le moteur Frostbite 2, inutile donc de préciser que les graphismes sont époustouflants. Seul bémol, la police que nous apercevons rarement, voire jamais ; si vous avez un penchant pour les courses-poursuites avec la police, oubliez donc ce nouveau titre. Toutefois, le jeu est parsemé de cinématiques et de scènes d'action accompagnées de QTE, histoire de varier un peu. |
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Nous avons là un parfait mélange. À la fois du fun et du réalisme. Ces cinq jeux sont loin d'avoir des graphismes dignes de Battlefield 3, mais leur gameplay remonte tout. Un Halo pour son scénario magnifique de film à grand budget et son gameplay qui n'a pas vieilli depuis 10 ans, un Saints Row pour se défouler en virtuel, un Rayman qui rappelle de bons souvenirs, une suite de Portal majestueuse, pour cause son gameplay casse-tête et son scénario digne de celui d'un film, et Skyrim pour passer des heures sur sa Xbox 360 afin de découvrir le monde merveilleux de ce jeu. |
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Batman Arkham City : Je n'ai jamais vraiment été fan de Batman, mais Arkham City a réussi l'exploit de m'intéresser à l'univers très riche de la chauve-souris. Arkham City est ce qu'aurait donné le mélange improbable entre la liberté d'Assassin's Creed couplée à l'infiltration et le mode de combat dynamique d'Arkham Asylum. Car, pour cette fois, Batman est libre de planer entre les bâtiments de la prison gigantesque qui sert de terrain de jeu. Fini les couloirs étouffants de l'asile d'Arkham, Batman peut enfin goûter à la véritable liberté d'un monde à ciel ouvert. Et c'est cela qui fait toute la différence avec son prédécesseur, Arkham Asylum a su poser les fondations sur lesquelles Arkham City prend appui pour s’élever plus haut. L.A. Noire : L.A. Noire nous met dans la peau du détective Cole Phelps, héros de guerre qui gravit lentement, mais surement les échelons de la police de Los Angeles. Celui-ci sera amené à mener l'enquête. Et c'est là où le joueur entre en scène. Examens méticuleux de la scène du crime, de la victime, des témoignages, interrogatoires, le tout saupoudré de courses-poursuites et fusillades si chères aux films noirs des années 60, L.A. Noire nous donne l'impression d’être un film... Cependant, il est tellement dommage que les animations bancales et certaines incohérences de la physique cassent l'immersion qui, elle, est sublimée par le travail sur les voix et les expressions faciales impressionnantes. Gears of War 3 : Gears of War 3 ne révolutionne pas la série, loin de là, mais le jeu a le mérite de se baser sur les acquis déjà très solides qui ont été bâtis depuis le premier opus. Rien de transcendant, mais Gears of War 3 est efficace. L'histoire a également été plus travaillée, les graphismes déjà très beaux ont été peaufinés, le mode multijoueur a gagné en stabilité. C'est simple, Gears of War 3 est le meilleur de la série et un des meilleurs jeux de la Xbox 360 à n'en pas douter. Dead Island : Quand Dead Rising rencontre GTA IV, cela donne Dead Island. Comme son l'indique, le jeu nous place sur une île pas si paradisiaque que ça, car la population estivale s'est retrouvée zombifiée et le joueur et son groupe coloré de survivants deviennent le seul espoir des quelques personnes ayant échappé à la horde. Dead Island offre un monde ouvert rempli de zombies et lâche le joueur en pleine apocalypse. Les quêtes sont sans surprise, les personnages sans réel charisme, les aspects techniques sont convenus, mais Dead Island est fun, tout simplement. Nous nous sentons jetés au milieu de la horde, omniprésente et impitoyable, réduits à défourailler à coups de clé à molette, car les armes à feu se font rares. Nous sommes par conséquent bien vulnérables dans le monde de Dead Island, et c'est cela qui fait sa force. Le jeu nous fait utiliser notre cervelle pour éclater celles des zombies. Armes modifiables, réparables et personnalisables, il faudra bien choisir et entretenir nos outils pour éviter d'en venir aux mains... littéralement. Pour la première fois, nous sommes partie intégrante d'un monde qu'il est impossible de changer en un tour de main. Driver San Francisco : Ayant joué au premier Driver sur PSX, j'étais sceptique quant à ce nouvel épisode qui n'avait pas franchement grand-chose à voir avec le titre de mon enfance. Introduisant le mécanisme de jeu bizarroïde du Shift, Driver: San Francisco est un bon jeu, mais un mauvais Driver. Là où le premier du nom nous avait habitués à des courses-poursuites vraiment typées films, Driver: San Francisco lorgne du côté Fast and Furious et nous sentons au niveau du gameplay que Burnout est passé par là entre temps. Néanmoins, la mayonnaise prend et le jeu est amusant, en partie grâce au Shift et grâce à l'atmosphère qui ne se prend pas une seconde au sérieux. Le titre est dynamique, nerveux, et le Shift permet de jouer d'une façon qu'aucun autre jeu ne peut offrir. À essayer en oubliant la nostalgie. Duke Nukem Forever : Pour les gens ayant joué à DN3D, dire que Duke Nukem Forever était attendu est un doux euphémisme... Duke Nukem est l'incarnation parfaite du jeu de série B qui distrait néanmoins par son humour anachronique et très ancré dans les années 1990, où le jeu a ses racines. Loin d'être un foudre de guerre technique, le jeu fait passer un bon moment à grands renforts de nostalgie et de clins d'œil à l'épisode passé. Sans oublier les fameuses piques de Duke exprimées par la voix intemporelle de Jon St Jon, Duke Nukem Forever fait partie de ces jeux de niche. |
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L'année 2011 a été riche en bons jeux, en faire ressortir une sélection n'est pas chose aisée. Malgré tout, cinq jeux sortent du lot. Pour commencer, Assassin's Creed: Revelations est le jeu qui m'a le plus transporté, le dernier épisode des aventures d'Ezio est le plus abouti de la série et un vrai bonheur à découvrir. Gears of War 3 conclut la trilogie Marcus Phoenix en beauté et est aussi un jeu à posséder absolument. Forza Motorsport 4 est la simulation ultime pour les fans de sport automobile et même les autres, tout comme NBA 2K12 qui est la référence en termes de jouabilité et d'immersion dans un sport. Pour finir, LE jeu de 2011, et pourtant il a déjà 10 ans, Halo: Combat Evolved Anniversary. Ce remake du premier Halo est le jeu indispensable dans toute ludothèque qui se respecte, il fera découvrir cet univers extraordinaire du Master Chief à ceux qui ne connaissent pas la série et qui ravit les fans de la première heure tels que moi. Au pied de mon podium se trouve Batman: Arkham City qui, lui aussi, mérite qu'on le possède. Bien entendu, cette sélection est subjective puisque c'est mon choix, mais ces 5 jeux sont pour moi les indispensables de l'année. |
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Batman a fait la prouesse d'être encore meilleur que le premier, je prends beaucoup de plaisir à y jouer. De plus, Mortal Kombat m'a bluffé, ça faisait longtemps qu'un jeu de combat ne m'avait autant plu. |
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