TEST Death Stranding 2: On The Beach, une expérience poignante entre solitude et action
Le nouvel ouvrage vidéoludique de Kojima voit le jour. Installez-vous confortablement et parlons-en !
Reconnecter l’humanité, ou la laisser tranquille ?
L’histoire s’inscrit dans la lignée du premier volet, tout en apportant une maturité nouvelle, presque désarmante. Nous retrouvons donc Sam, onze mois après avoir évité de justesse l’extinction de l’humanité. L’Amérique, autrefois morcelée, avait été reconnectée... mais ce fragile équilibre semble déjà vaciller. Nous partons alors vers une nouvelle odyssée et... nous n’en dirons pas plus pour vous laisser le plaisir de la découverte. Cependant, quoi penser de tout cela ? Eh bien Death Stranding 2: On the Beach nous fait remuer les méninges. Ici, faut-il réellement tendre des ponts entre les territoires ou accepter que certaines frontières demeurent ?
Un bonheur.
Et la durée de vie dans tout cela ? Ne tournons pas autour du pot, il faut s’accrocher. Entendez par là que nous avons mis environ 70 heures à boucler notre périple, en trainant pas mal des pieds, en grimpant les sommets pour le plaisir de la vue, et en achevant plusieurs missions secondaires. Ceux qui foncent tout droit pourront achever la bête plus vite, mais cette suite n’est pas un jeu qui se consomme à la va-vite : il se savoure, il se... ressent, à travers une DualSense et un écran.
Enfin, mention spéciale au doublage, d’une qualité rare. Que ce soit en dans la langue de Molière ou en anglais, les comédiens livrent une prestation habitée. Norman Reedus dans sa langue ou ses équivalents français donnent vie à des personnages fatigués, résilients, profondément humains. Peu importe votre choix au final, vous serez servis. Un bonheur.
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