TEST Elden Ring Nightreign n’est pas un jeu pour tout le monde
Nous avons affronté les Seigneurs Nocturnes de ce spin-off multijoueur riche, mais aussi très frustrant et imparfait.
La faute à la manette ?
Si la boucle de gameplay du jeu est plutôt intéressante, arrivant plutôt bien à mélanger les codes des Souls-like, des rogue-like et des Battle Royale, Elden Ring Nightreign n’échappe pas à quelques soucis qui ont de quoi faire voyager la manette à l’autre bout de salon, en aller simple.
Mourir contre un boss n’est pas bien fun, mais alors échouer à cause du gameplay raté, c’est pire.
La mort n’est cependant pas forcément synonyme de fin de partie dans Elden Ring Nightreign, surtout en multijoueur. Une fois la barre de santé réduite à zéro, le joueur tombe au sol, à quatre pattes et les autres membres de l’escouade doivent… frapper le joueur au sol pour réduire un cercle jusqu’à le réanimer, dans un temps imparti. Plus ce même joueur tombe au sol, plus le cercle est rempli (allant d'un à trois tiers) et plus il est long à relever. Une mécanique qui change du classique « Restez appuyé sur X » pour relever votre allié, mais qui met en exergue un gros souci du jeu : le système de verrouillage est catastrophique. À de très, très, très nombreuses reprises, nous avons galéré à verrouiller notre allié au sol pour lui infliger des coups, le jeu préférant locker les multiples ennemis aux alentours.
Si le temps de résurrection est écoulé ou si les trois joueurs tombent au sol pendant les phases d’exploration (la journée), ils perdent un niveau et leurs runes, mais réapparaissent non loin pour les récupérer et pourquoi pas se venger. La perte d’un niveau reste quand même assez punitive, le joueur peut évoluer jusqu’au niveau 15 au maximum, mais un niveau de 10-12 avec de bonnes armes est quand même recommandé pour affronter efficacement le Seigneur Nocturne. Et si l’escouade meurt contre un boss la nuit ou contre le Seigneur Nocturne, c’est évidemment la défaite définitive de la partie.
Rédacteur - Testeur Clint008 |
Commenter 2 commentaires
Aujourd’hui j’ai plus envie de me faire plaisir selon mes « capacités » (qui décroissent certainement aussi avec l’âge), et c’est avec un énorme plaisir (justement) que j’ai énormément apprécié récemment un jeu comme Doom the Dark Ages qui lui propose énormément d’options d’Accessibilité pour jouer au jeu en l’adaptant à « mon niveau », et en me permettant ainsi de « progresser » en augmentant (progressivement) la difficulté selon mon rythme…
Un bel exemple à suivre, permettant à de nombreux joueurs de profiter du jeu quel que soit leur niveau…
Et surtout de progresser !