E3 2013 - PREVIEW - The Witcher 3: Wild Hunt - Nos premières impressions

Attention, accrochez-vous bien à votre siège, car vous allez lire des impressions sur l’un, si ce n’est le plus gros jeu du salon. Il répond au doux nom de The Witcher 3: Wild Hunt et représente l’aboutissement ultime du travail de CD Projekt Red, un studio polonais qui a nous a conviés à une longue présentation de 45 minutes, avec des séquences de gameplay en prime, puis nous a permis de nous entretenir avec Jonas Mattson. Culture de l’Est oblige, ils nous ont presque obligés à prendre une bière pour entrer dans la salle. Bonne ambiance.

Comme l’a indiqué Jonas Mattson, environment artist sur The Witcher 3: Wild Hunt, les deux premiers opus de la franchise n’ont pas pu s’exprimer pleinement à cause des limitations techniques de leur époque. Et s’ils ont marqué les esprits, c’est grâce à une histoire prenante – celle de Geralt, un chasseur de monstres – et des mécaniques de gameplay bien trouvées (malgré des phases de combat un chouïa trop lourdes par moment). Autrement dit, les ambitions ont été revues à la hausse et cela passe avant tout par un open-world énorme, tel un elder scrolls-like.

CD Projekt Red est, semble-t-il, parvenu à donner naissance à un monde divisé en régions éclectiques et emplies de microcosmes interagissant entre eux. Le but est bien évidemment que chaque passage de Geralt et chaque quête – principale ou secondaire – qu’il remplit aient une incidence systémique sur les environnements. Les promesses sont là, en espérant qu’elles soient tenues jusqu’au bout. Dans la vidéo que nous avons vue, le héros mettait fin à une lutte entre deux castes d’une même ville à propos d’une bête à chasser. En fonction du choix du joueur, le pouvoir pourra changer de main, ce qui régira le comportement des autochtones dans les futurs passages.