... En Australie ! Nous ne nous y attendions pas, mais lorsque l'on y pense ce n'est qu'une demi-surprise.
Mais oui, rassurez vous, chez nous pas de soucis, nous pourrons une fois de plus frissonner devant Alma la terrible ! En revanche, si la possibilité de jouer à F.E.A.R. 2 nous paraît, à nous européens, indéniable, ce n'est pas le cas pour tout le monde. Et oui, certains voient leurs espoirs brisés depuis quelques jours. En théorie, un jeu, ça sort partout... mais en pratique, les choses ne sont pas toujours aussi simples. Chez nous, c'est la PEGI qui s'occupe d'attribuer des classifications aux jeux et donc des logos permettant de distinguer les différents panels, eux même définis en fonction du degré de violence : 3+, 7+, 12+, 16+, 18+, etc... (notez bien que nous allons jusqu'à 18 ans et plus). Ainsi, les productions les plus violentes et immorales peuvent être commercialisées sans aucun problème, il suffira de les affubler du petit "18+".
Cependant, ça c'est chez nous. D'autres sont moins chanceux et la restriction est parfois infernale. Bien entendu, en matière de contrôles soucieux, l'Australie s'y connait bien. C'est " l'Australia’s Office of Film and Literature" qui est chargé de cette tâche sur ce territoire, et cet organisme est devenu tristement célèbre pour ses interdictions de commercialisation, en termes de jeux vidéo. Et pour cause, ce n'est pas la première fois que cela arrive et nombreuses furent les victimes : GTA III, GTA San Andreas, GTA IV, Dark Sector, Silent Hill : Homecoming et plus récemment Fallout 3 en ont tous payés les frais. Il n'existe pas de ratification "18+", le maximum étant le "15+".
Une nuance cependant : la majorité des titres précédemment évoqués a tout de même pu être commercialisée, sous condition de modification des "erreurs". A la sortie, les Australiens "profitaient" donc d'un jeu censuré. Cela dit pour F.E.A.R.2, comme de par le passé, il n'est pas impossible que les éditeurs/développeurs en modifient le contenu et enlèvent de cette façon les éléments jugés inacceptables.
Cependant, ça c'est chez nous. D'autres sont moins chanceux et la restriction est parfois infernale. Bien entendu, en matière de contrôles soucieux, l'Australie s'y connait bien. C'est " l'Australia’s Office of Film and Literature" qui est chargé de cette tâche sur ce territoire, et cet organisme est devenu tristement célèbre pour ses interdictions de commercialisation, en termes de jeux vidéo. Et pour cause, ce n'est pas la première fois que cela arrive et nombreuses furent les victimes : GTA III, GTA San Andreas, GTA IV, Dark Sector, Silent Hill : Homecoming et plus récemment Fallout 3 en ont tous payés les frais. Il n'existe pas de ratification "18+", le maximum étant le "15+".
Une nuance cependant : la majorité des titres précédemment évoqués a tout de même pu être commercialisée, sous condition de modification des "erreurs". A la sortie, les Australiens "profitaient" donc d'un jeu censuré. Cela dit pour F.E.A.R.2, comme de par le passé, il n'est pas impossible que les éditeurs/développeurs en modifient le contenu et enlèvent de cette façon les éléments jugés inacceptables.
Pour changer, les Australiens désirant se procurer une version non modifiée du jeu devront se tourner vers l'import. En attendant, nous ne pouvons que croiser les doigts pour que la sortie puisse se faire après quelques retouches... Amis Australiens, nous pensons à vous.
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... Mais pourquoi nous européens on se plain dés qu'il y à un pti problème 
je crois que nous sommes plutot en bonne position par rapport à tous sa 
